Is Meat Really that Bad?
Summary
TLDRLa nourriture est au cœur de notre culture et de notre bien-être, mais elle est également un facteur majeur du changement climatique. La production alimentaire est responsable d'environ 26% des émissions de gaz à effet de serre humaines. Le bétail, en particulier le boeuf, a un impact environnemental considérable, avec des émissions de CO2 équivalents nettement supérieures à celles des aliments à base de plantes. L'achat local ne réduit pas considérablement l'empreinte carbone des aliments, car la majeure partie des émissions provient de la production elle-même. Même le bétail le plus durable a un impact nettement supérieur aux alternatives végétariennes. La conversion à une alimentation végane ou végétalienne pourrait libérer d'importantes quantités de terres pour la reforestation ou la restauration d'habitats naturels, contribuant ainsi à enlever le CO2 de l'atmosphère. Chacun peut prendre des décisions pour réduire son impact environnemental, et apprendre de nouvelles compétences ou intérêts peut être un premier pas vers le changement.
Takeaways
- 🍽️ La nourriture est un élément central de la vie, étant à la fois une expression de culture et un moyen de célébration ou de réconfort.
- 🌱 Les émissions liées à la production alimentaire représentent environ 26% des émissions de gaz à effet de serre anthropiques, un chiffre qui est significatif même si d'autres sources d'émissions étaient éliminées.
- 🐄 Les émissions de CO2 équivalents par kilogramme de viande, en particulier pour le boeuf, sont nettement plus élevées que pour les aliments à base de plantes.
- 🌍 L'achat de nourriture locale peut réduire l'impact environnemental, mais seulement de 0,5 à 2% des émissions totales de la viande.
- 🚍 Les émissions de transport et d'emballage ne constituent qu'une petite partie des émissions totales de la nourriture, la majorité provenant de la production elle-même.
- 🌿 La destruction des forêts pour faire place aux pâturages et aux cultures est un facteur clé dans l'augmentation des émissions liées à la viande.
- 🐃 Les émissions de méthane par les animaux, bien que de courte durée dans l'atmosphère, sont très puissantes et contribuent considérablement au réchauffement climatique.
- 🌾 La production de viande nécessite une grande quantité de céréales pour l'alimentation des animaux, réduisant ainsi la quantité de céréales disponibles pour la consommation humaine directe.
- 🌳 La libération de terres agricoles pour la production de viande pourrait être utilisée pour la reforestation ou la restauration de prairies, absorbant ainsi plus de CO2 de l'atmosphère.
- 🌱 Un régime végétalien ou végétarien pourrait libérer de grandes quantités de terres et réduire considérablement l'empreinte carbone de notre alimentation.
- 💡 Chacun a le pouvoir de faire un changement en modifiant ses habitudes alimentaires, même si le premier pas peut sembler difficile à franchir.
Q & A
Quelle est la part importante de la production alimentaire dans les émissions de gaz à effet de serre humaines?
-La production alimentaire est responsable d'environ 26% de toutes les émissions de gaz à effet de serre humaines.
Combien de CO2 équivalents émettrait-il en moyenne un kilogramme de viande de boeuf?
-Un kilogramme de viande de boeuf émet en moyenne 71 kilogrammes de CO2 équivalents.
Quels facteurs influencent la quantité d'émissions des élevages de bovins?
-Les facteurs influençant les émissions des élevages incluent le type d'élevage (par exemple, élevage laitier ou élevage à viande), la géographie qui détermine les méthodes d'élevage possibles, et la destruction des forêts pour la conversion en terres agricoles.
Pourquoi l'achat de viande locale n'a-t-il pas un grand impact sur les émissions liées à la production alimentaire?
-C'est parce que les émissions liées au transport et à l'emballage ne représentent que 0,5 à 2% des émissions totales de la viande, et les émissions de transport et d'emballage combinés ne sont que de 11% de toutes les émissions alimentaires.
Quelle est la part des émissions de viande de boeuf provenant de la méthane émis directement par les animaux?
-La plus grande part des émissions de viande de boeuf provient du méthane libéré directement par les animaux.
Comment la géographie affecte-t-elle les méthodes d'élevage possibles et les émissions?
-La géographie détermine les méthodes d'élevage possibles, car elle influence la capacité de conversion des terres en pâturages ou en terres agricoles, et cela affecte considérablement la quantité d'émissions.
Quelle est la part des terres non glacées et non désertiques mondiales utilisées pour l'agriculture?
-Environ la moitié de la surface terrestre non glacée et non désertique du monde est utilisée pour l'agriculture.
Quelle est la quantité de céréales mondiales utilisées directement comme nourriture humaine?
-Moins de la moitié des céréales mondiales sont utilisées directement comme nourriture humaine, 41% sont destinées à l'alimentation des animaux.
Si nous adoptions un régime végétalien, combien de terres pourrait-on libérer pour d'autres usages?
-Un régime végétalien pourrait libérer environ 3 milliards d'hectares de terres.
Quelle est la meilleure option pour minimiser l'empreinte carbone de la consommation de viande de boeuf?
-Il est plus efficace d'opter pour d'autres sources de protéines, comme les aliments à base de plantes, plutôt que de chercher la meilleure viande de boeuf en termes d'environnement.
Quels sont les avantages potentiels de libérer de grandes étendues de terres agricoles pour la croissance de forêts ou la restauration de prairies naturelles?
-Libérer de grandes étendues de terres agricoles pourrait permettre de absorber du CO2 de l'atmosphère, contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique.
Quelle initiative est proposée pour aider les spectateurs de kurzgesagt à apprendre un nouveau skill et à s'engager créativement?
-Kurzgesagt recommande Skillshare, une communauté d'apprentissage en ligne offrant des milliers de cours pour tous les niveaux de compétence dans de nombreuses disciplines créatives.
Outlines
🍽️ L'impact de l'alimentation sur le changement climatique
Le premier paragraphe explore l'importance de la nourriture dans la vie quotidienne et son lien avec la culture et l'amour familial. Il aborde ensuite la question controversée de la modification de nos habitudes alimentaires pour lutter contre le changement climatique, en mettant en lumière le rôle du bétail et de la viande. La discussion porte sur la complexité de la question et l'importance des émissions de gaz à effet de serre liées à la production alimentaire, qui représentent environ 26% des émissions totales. L'analyse des émissions par rapport aux différents types d'aliments révèle que les protéines animales, en particulier le béuf et l'agneau, ont un impact environnemental plus important que les aliments à base de plantes. La section se termine par une réflexion sur la qualité des différentes viandes et la possibilité d'acheter des produits plus écologiques.
🌱 L'efficacité de l'achat local en matière d'émissions
Le deuxième paragraphe se concentre sur l'idée de l'achat local pour réduire l'empreinte carbone de la nourriture, en particulier du béuf. Il explique que les émissions liées au transport et à l'emballage ne représentent qu'une petite partie des émissions totales du béuf et de la nourriture en général. Les émissions de transport sont particulièrement faibles pour les produits issus de la navigation de fret, tandis que le plus grand contributeur aux émissions de viande de bétail est la méthane émis directement par les animaux. La section traite également de facteurs tels que l'origine des troupeaux (bétail laitier ou à viande), la géographie et la déforestation pour l'agriculture, soulignant que les émissions varient considérablement en fonction des méthodes d'élevage et des conditions géographiques.
🌿 L'utilisation des terres par l'élevage et l'agriculture
Le troisième paragraphe examine l'argument selon lequel les vaches utilisent principalement des terres non exploitables pour l'agriculture. Il explique que la moitié des terres agricoles mondiales est dédiée à l'élevage, dont la plupart sont des prairies qui ne peuvent pas être converties en terres cultivées. Il est souligné que les pâturages ne suffisent pas pour soutenir entièrement la production de béuf et que la production de céréales et de soja est largement utilisée pour l'alimentation du bétail. La section met en garde contre la destruction des forêts pour l'agriculture et la possibilité d'utiliser les terres libérées par une réduction de la consommation de viande pour la reforestation ou la restauration des prairies, contribuant ainsi à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
🎓 L'apprentissage continu et le changement de comportement
Le dernier paragraphe évoque l'idée que chaque individu est toujours à un seul déclic de décision de faire un changement. Il encourage le public à apprendre de nouvelles compétences ou à explorer de nouveaux intérêts. Il propose Skillshare, une plateforme d'apprentissage en ligne offrant des milliers de cours dans divers domaines créatifs. Il mentionne une offre spéciale pour les téléspectateurs de la chaîne, qui peuvent obtenir un mois d'essai gratuit en suivant le lien fourni. La section se termine par un appel à l'action pour les téléspectateurs qui souhaitent s'engager dans un apprentissage créatif et soutenir la chaîne en s'inscrivant à Skillshare.
Mindmap
Keywords
💡Alimentation
💡Changement climatique rapide
💡Viande
💡Émissions de gaz à effet de serre
💡Cycle de vie
💡Produits à base de plantes
💡Achat local
💡Émissions de méthane
💡Déforestation
💡Alimentation animale
💡Diet végétarienne
Highlights
Food is an integral part of our lives, providing pleasure, cultural expression, and comfort.
The necessity to change our dietary habits to combat climate change is a sensitive issue.
Meat, despite being a delicious food, has a negative environmental impact and is often criticized.
The complexity of the topic makes it difficult for individuals to conduct their own research.
Worldwide food production accounts for approximately 26% of all human-made greenhouse gas emissions.
Even if all other emissions were eliminated, food production emissions would deplete our carbon budget by 2100.
Life cycle assessments are used to analyze the total emissions of a product from production to waste management.
Beef has the highest emissions among foods, averaging 71 kilograms of CO2 equivalents per kilogram.
When comparing emissions per calorie or protein, animal protein remains the most environmentally costly.
There is a tenfold difference in emissions between the worst and best methods of beef production.
Buying locally produced beef does not significantly reduce the carbon footprint due to minimal transportation emissions.
Transport and packaging contribute to only 11% of all food emissions.
The majority of beef emissions come from methane released by the animals themselves.
Dairy herds and geographical factors influence the methane emissions and overall environmental impact of beef.
Deforestation for farmland significantly contributes to beef's carbon footprint.
Grass-fed cattle may require more land and thus can be less environmentally friendly than factory-farmed cattle.
Grasslands are efficiently used for pasturing animals, but cannot solely support ruminant production.
A significant portion of the world's cereals and soy is used as animal feed, not directly for human consumption.
Adopting a plant-based diet could free up vast amounts of land for carbon-absorbing forests or grasslands.
The environmental impact of different types of meat, particularly beef, is a critical factor in the fight against climate change.
Individual choices about diet can have a significant impact on carbon emissions and environmental sustainability.
Transcripts
Food is arguably the best thing about being alive. No other bodily pleasure is
enjoyed multiple times every day and never gets old. It is an expression of culture,
our parents' love and a means of celebration or comfort.
That’s why it hits a special nerve when we are told we should change what and how we eat to
fight rapid climate change. One of the most delicious foods, meat gets the worst press.
It doesn’t help that the topic is really hard to properly research yourself
and debates get emotional quickly. But clearly science can give us an answer!
The reality is, well, it’s complicated.
Let’s take a look at three climate arguments against
meat that are used a lot and see what happens.
#
1. Does our Diet REALLY play that big a role in climate change?
Feeding billions of people is impossible without causing emissions. Even if someday we have
zero-carbon tractors, refrigerators and cookers running on renewable energy and electric trucks
to move our food, there are still unavoidable emissions. Rice emits methane. We cut down forests
to make room for pastures and crops. And we emit nitrous oxide when we use fertilizers and manure.
Worldwide food production is responsible for about 26% of all human-made greenhouse gas emissions.
Which is unfortunate, since food is not optional. While 26% doesn’t sound THAT bad
it means that even if we extinguished all other sources of emissions today,
the emissions from food alone would still use up our entire carbon budget by 2100.
So no matter how we twist and turn it, food is a real driver of climate change.
Still, emissions from different food items vary a lot.
How do things look when we compare their footprints separately?
Foods’ climate impact is most often based on “life cycle assessments”:
an analysis that looks at all the emissions of a product throughout its existence,
from production to transportation, packaging, use and waste management.
In the most detailed meta analysis of life cycle assessments to date, beef emissions
stand out at the top. On average, a kilogram of beef emits 71 kilograms of CO2 equivalents.
Lamb is also high, at 40 kilograms. Pork emits 12 and poultry 10 kilograms. At the bottom we
have lots of plant-based foods: Potatoes, for example,emit around 150 times less than beef.
The most important aspect of food isn’t weight though,it’s nutrient density. A kilogram of beef
would keep you alive much longer than a kilogram of potatoes– so how does the ranking change
if we compare emissions per calorie or protein? Not much. Animal protein is still the most
costly for the environment and beef and lamb are also outliers in emissions per calorie.
But is this fair? After all, not all beef is the same. There are all sorts of ways to rear cattle,
from pure grass fed to factory farming. The worst beef comes in at 105 kilograms
of emissions per 100 grams of protein – the best at only 9 – a tenfold difference.
In contrast, most other foods, especially plant based,
have a much narrower spectrum. Still, the best beef is worse than the worst plant.
Ok but this seems promising – can we buy the right beef and lower our emissions?
Maybe by buying locally produced beef to minimize our footprint?
# 2. Does Buying Local Food Actually Matter?
Let us stick with beef since it is such an outlier.
By buying locally, you are trying to avoid emissions from transportation and packaging.
But it turns out these only account for 0.5 to 2% of beef's total emissions.
Actually, transport and packaging combined are only about 11% of all food emissions.
Nearly all food transport emissions are produced over the last few miles,
the regional travel on the road supplying the markets and shops in your area.
International food transport happens mostly on freight ships, which are insanely efficient.
For example, shipping one kilogram of avocados from South America to Europe
generates about 0.3 kilograms of CO2 equivalents in transport emissions
and around 2.5 kilograms overall – while one kilogram of beef from your local butcher will
come in at 18 kg in CO2 equivalents at least . So even when shipped great distances, emissions
from almost all plant-based foods cause lower emissions than locally produced animal products.
Ok, so if transport doesn’t play a big role,
what causes the vast amounts of emissions from beef then?
By far the largest share of beef emissions consists of methane released directly by the
animals. While CO2 hangs around for centuries, methane only stays in the atmosphere for decades.
But in these short periods, it is very powerful. All in all, methane has already caused 23 to 40%
of human-made warming so far. There is controversy about how bad this is exactly and we don’t want
to dive in too deep here – but the way things stand, any kinds of extra emissions are not great.
Still – all cows burp and fart to similar degrees – what explains the spectrum of beef emissions?
There are a couple things:
It makes a difference if the beef comes from a dairy herd or one dedicated to beef production.
44% of the world’s beef comes from dairy cows, sharing its footprint with dairy products. Dairy
cows tend to get higher quality feed, which makes them grow faster and emit less methane.
Geography also plays a role, because it determines which farming methods are possible.
The worst factor by far is the destruction of forests for farmland. Not only does this
release the CO2 that was bound in the flora, it sets free carbon that was
stored in the soil and destroys its ability to store it in the future.
This aspect accounts for much of the range of emissions in beef:
the worst emitters are farms burning down rainforest for farmland, especially in Brazil.
There is a sinister truth hidden here: The more animals suffer, the better they are in
terms of climate change because they are way more efficient. They use less land and their food is
brought right to them, and so they grow faster and don’t expend energy on things like walking.
Cattle in a factory farm that never get to roam pastures can sometimes be less destructive for
the climate than cattle grazing peacefully on a formally lush piece of rainforest.
But isn’t it a bit out of touch with reality to demonize cows so much?
Some of the land these animals are grazing on isn’t suitable for crops anyway.
By grazing on pastures they can turn things we can’t digest
into food. Isn’t farming animals just a smart way to make the best use of unused resources?
#3 Don’t Cows mainly use Land that we can’t use for agriculture or other things?
About half of the world’s ice- and desert-free land is used for agriculture, an area the size
of the entire Americas plus China. Half of all agriculturally used land is dedicated to animals.
Most of it is grassland, 65% of which can not be converted to cropland, so pasturing animals is
actually a very efficient way to use those areas, since we can’t grow human food there anyway.
There are a couple of catches here though.
While the idea of cows turning useless grass into steak is nice, it is a marketing lie.
Even though it is so massive, pastureland alone can’t support the ruminants living on it.
Globally, grazing systems sustain only 13% of beef production. So if we were to switch to 100%
grass fed, we’d simply have to eat much less beef – in the US
beef production would crash by some 70% if it were to exclusively rely on grass.
The only way to sustain our high demand for meat is by growing crops and feeding them to our
cattle. And we haven’t even talked about chickens and pigs, who exclusively eat feed crops .
Because of this feed demand, less than half of the world’s cereals are used directly as human food.
41% is fed to animals. The same is true for soy. There is a lot of talk about Amazon
deforestation for soy production, which makes us think of soy milk and tofu. But only 19%
of global soy production goes towards products for humans. About 77% is used to feed animals.
Besides, land without food crops isn’t automatically ecologically useless.
A beef free diet would free up around 2 billion hectares, a vegan diet would
free up around 3 billion hectares of land. We could use this land to grow forests or restore
wild grasslands – basically anything that could suck carbon out of the atmosphere. If we spared
3 billion hectares of land, it could remove about 800 billion tonnes of CO2 from the air over 100
years. By comparison we emit about 50 billion tonnes of CO2 equivalents per year at the moment.
Ok to summarize.
Food is a huge driver of emissions. Meat but especially beef is the worst food in
terms of emissions. Buying locally does not have a big impact on food emissions
compared to the type of food you are consuming. When it comes to beef,
cattle that are grass fed can sometimes even be counterproductive because they just need
much more land. Even if you find the most environmentally-friendly beef in the world,
your burger still comes with a significantly higher carbon footprint than a veggie pattie.
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