Vérification. Le MAK est-il parrainé par la France pour séparer de la Kabylie de l’Algérie ?

Abdou Semmar
21 Jun 202524:59

Summary

TLDRCe script met en lumière une critique acerbe du système judiciaire algérien, en particulier dans le cadre de l'extradition d'Ibrahim Babass. L'orateur dénonce l'usage du concept de 'participation par incitation', unique à l'Algérie, et souligne l'absence de preuves suffisantes pour justifier des accusations aussi graves. En comparaison, il défend la rigueur du système judiciaire français, qui a rejeté la demande d'extradition, arguant de l'absence de garanties d'un procès équitable et de preuves de culpabilité. L'orateur critique également la gestion de l'affaire des incendies de forêt en Kabylie et la libération de Jamel Ben Ismaïl.

Takeaways

  • 😀 La justice ne doit pas se baser sur des prédictions, mais sur des preuves concrètes pour juger les individus.
  • 😀 Les juges ne sont pas des voyants et ne doivent pas présumer de l'avenir, mais s'appuyer sur des indices et des preuves tangibles.
  • 😀 L'absence de preuves suffisantes empêche toute condamnation. Il est impossible de déclarer une personne coupable sans preuves solides.
  • 😀 Le concept de 'participation par incitation' est unique à la justice algérienne et ne trouve pas d'équivalent dans d'autres systèmes juridiques.
  • 😀 La justice algérienne considère que l'incitation seule peut faire de l'incitant le principal auteur d'un crime, ce qui est critiqué comme une approche injustifiable.
  • 😀 La justice doit juger indépendamment des opinions politiques d'un accusé, qu'il soit nazi, raciste ou islamiste. La culpabilité doit être fondée sur des preuves concrètes.
  • 😀 Les juges français ont rejeté la demande d'extradition d'Ibrahim Babass, estimant que les arguments des juges algériens étaient insuffisants et imprécis.
  • 😀 Le ministre de la Justice algérien, Boujema, est critiqué pour avoir rédigé une demande d'extradition défaillante et incohérente.
  • 😀 La France applique des principes juridiques rigoureux, basés sur la transparence et des preuves solides, contrairement à la justice algérienne, qui est décrite comme ridicule et humiliée dans cette affaire.
  • 😀 La justice doit garantir un procès équitable, avec des preuves suffisantes pour toute accusation sérieuse, et ne doit pas être influencée par des concepts juridiques non reconnus internationalement.

Q & A

  • Qu'est-ce que l'orateur critique dans le système judiciaire algérien?

    -L'orateur critique principalement le concept de 'participation par incitation' dans le système judiciaire algérien, affirmant que celui qui incite un crime ne doit pas être considéré comme le principal auteur du crime. Selon lui, cela ne correspond pas aux principes juridiques traditionnels.

  • Comment le système judiciaire français est-il comparé à celui de l'Algérie dans cette affaire?

    -L'orateur loue le système judiciaire français pour son application des principes juridiques rigoureux, transparents et professionnels. En revanche, il critique le système algérien pour son manque de preuves et d'éléments sérieux pour soutenir les accusations, notamment dans le cadre de la demande d'extradition de Ibrahim Babass.

  • Pourquoi la demande d'extradition de Ibrahim Babass a-t-elle été rejetée par la justice française?

    -La demande d'extradition a été rejetée parce que les juges français ont estimé que les arguments fournis par les juges algériens étaient insuffisants, imprécis et manquaient de preuves concrètes. Ils ont souligné qu'il n'y avait aucune garantie d'un procès équitable en Algérie.

  • Quelle est la critique principale concernant le concept de 'participation par incitation' dans le système judiciaire algérien?

    -La critique principale est que dans le système judiciaire algérien, la personne qui incite un crime peut être considérée comme le principal auteur du crime, ce qui va à l'encontre des principes juridiques internationaux où celui qui commet effectivement l'acte criminel est considéré comme le principal auteur.

  • Quels sont les arguments avancés par la justice française pour rejeter l'extradition de Ibrahim Babass?

    -Les juges français ont rejeté l'extradition en raison de l'absence de preuves suffisantes, de l'imprécision des demandes d'extradition et de l'absence de garanties d'un procès équitable en Algérie. Ils ont également estimé que les arguments algériens étaient nulles et sans fondement.

  • Qu'est-ce que l'orateur suggère à propos du système judiciaire algérien dans le contexte des incendies de forêt en Kabylie?

    -L'orateur suggère que le système judiciaire algérien cherche à manipuler l'opinion publique en accablant à tort le mouvement indépendantiste Kabyle (le MAC) pour les incendies de forêt, alors qu'il n'y a aucune preuve concrète soutenant cette accusation.

  • Que pense l'orateur des juges français par rapport à leur traitement du dossier d'extradition?

    -L'orateur considère que les juges français ont appliqué des principes juridiques solides et transparents, et ont agi de manière professionnelle en rejetant l'extradition, car ils ont exigé des preuves tangibles et un procès équitable, ce qui faisait défaut dans le dossier présenté par l'Algérie.

  • Pourquoi l'orateur qualifie-t-il le document de demande d'extradition du ministre de la justice algérien de 'disastrueux'?

    -L'orateur qualifie le document de demande d'extradition du ministre de la justice algérien de 'disastrueux' parce qu'il considère que ce dernier a rédigé un dossier faible, qui ne respecte pas les principes fondamentaux de la justice et n'a aucune valeur légale.

  • Comment l'orateur décrit-il la manière dont la justice algérienne a géré le cas de Jamel Ben Ismaïl?

    -L'orateur décrit la gestion du cas de Jamel Ben Ismaïl comme un fiasco, où la justice algérienne a fait des accusations infondées à l'encontre de l'individu et a humilié son propre système judiciaire en essayant de lier ces crimes à des groupes politiques sans preuves solides.

  • Selon l'orateur, quel est le rôle de la politique dans le système judiciaire algérien?

    -L'orateur affirme que dans le système judiciaire algérien, la politique joue un rôle disproportionné. Il critique le fait que des personnes soient jugées non pas pour leurs crimes, mais en fonction de leurs opinions politiques ou de leur affiliation idéologique, ce qui nuit à l'équité et à la transparence du système judiciaire.

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