Pourquoi les voitures électriques sont détestables ?

Summary

Cette vidéo de 2024 aborde les avantages et les inconvénients des voitures électriques, un sujet controversé. Avec 17% du marché français, leur progression est indiscutable, mais leur impact environnemental est critiqué, notamment via l'extraction de métaux comme le lithium et le cobalt. Le script souligne également les défis de la transition énergétique, la dépendance aux ressources et les contraintes de la conduite, mettant en avant les préférences personnelles et les enjeux écologiques. Le créateur lance également 'APPEL DE PHARES', une initiative visant à célébrer l'histoire et la passion pour l'automobile.

Takeaways

• 🚗 L'année 2023 a enregistré un record de ventes de voitures électriques en France, représentant près de 17% du marché.
• 🌳 Les voitures électriques divisent l'opinion, avec des défenseurs fervents et des opposants critiques, souvent des passionnés de voitures thermiques.
• 💧 L'extraction de lithium, un métal essentiel pour les batteries, a un impact écologique négatif, allant de la désertification à la consommation d'eau importante.
• ⛏ Le cobalt, utilisé pour améliorer la capacité des batteries, est souvent extrait dans des conditions inhumaines au Congo, avec des conséquences道德和社会问题.
• 🔋 La production d'une voiture électrique nécessite plus d'énergie que celle d'une voiture thermique, ce qui soulève des questions sur l'efficacité écologique.
• 🏭 La construction et la production d'électricité pour les voitures électriques peuvent être polluantes, ce qui remet en question leur carbone net.
• 🚗💨 Les voitures électriques, en raison de leur batterie lourde, ont des proportions et une silhouette différentes, ce qui impacte leur design et est esthétique.
• 🔌 La gestion de l'autonomie et la recharge des voitures électriques sont sources de stress pour les conducteurs, en raison de l'incertitude et de la planification nécessaire.
• 🏠 La recharge à domicile des voitures électriques présente des défis, notamment pour les habitants de appartements ou de copropriétés.
• 🏁 Le passage à la voiture électrique est complexe et ne reflète pas nécessairement un avenir souhaité par tous, soulignant la nécessité de diverses options de mobilité.

Q & A

Quel pourcentage de voitures électriques a été vendu en France l'année précédente la vidéo?

La voiture électrique a représenté quasiment 17% des voitures vendues au total en France.

Quelle est la position de l'orateur vis-à-vis des voitures électriques?

L'orateur semble critique envers les voitures électriques, considérant qu'elles ne font pas l'unanimité et qu'elles sont imposées de manière dogmatique.

Quels sont les arguments mis en avant par les défenseurs des voitures électriques selon le script?

Les défenseurs des voitures électriques sont présentés comme des personnes qui croient être stylées ou faire le bien sur terre, et qui sont féroces dans leur soutien à l'électrique.

Quels sont les problèmes environnementaux mentionnés dans le script concernant l'extraction de lithium?

L'extraction de lithium est problématique car elle nécessite une exploitation minière intensive et l'évaporation de l'eau, ce qui assèche complètement le sol, et consomme d'importantes quantités d'eau, contribuant ainsi à l'aggravation de la sécheresse dans les régions concernées.

Pourquoi le Cobalt est-il nommé 'diamant de sang'?

Le Cobalt est surnommé 'diamant de sang' en raison des conditions de travail inhumaines, de l'exploitation des enfants et de l'impact négatif sur la santé des travailleurs, principalement au Congo.

Quelle est la position de Carlos Tavares, le patron de Stellantis, sur l'avenir des voitures électriques?

Carlos Tavares est opposé à l'imposition de la voiture électrique, estimant que la décision d'arrêter la vente de voitures thermiques d'ici 2035 est impossible à tenir et que cela est déconnecté de la réalité.

Quels sont les défis pour les conducteurs d'une voiture électrique lorsqu'ils vivent en appartement ou en copropriété?

Les défis incluent l'obtention des autorisations nécessaires pour installer une borne de recharge, le partage des coûts d'installation et la difficulté de recharger la voiture en dehors de leur domicile.

Quelle est la distance minimum que doit parcourir une voiture électrique pour être plus écologique qu'une voiture à essence ou diesel?

Une voiture électrique doit parcourir au moins 40 000 kilomètres avant d'être meilleure qu'une essence ou un diesel en termes d'impact écologique.

Quelle est l'initiative 'APPEL DE PHARES' présentée à la fin de la vidéo?

APPEL DE PHARES est un projet initié par l'orateur qui vise à maintenir vivante la passion automobile à travers une collection d'affiches représentant des modèles iconiques de voitures.

Quelle est la métaphore utilisée pour décrire la situation des constructeurs automobiles face à l'imposition de la voiture électrique?

Les constructeurs automobiles sont comparés à des personnes qui, face à une innovation refusée par le marché, sont aidées par des subventions gouvernementales pour donner un coup de pouce.

Outlines

00:00

🚗 L'essor des voitures électriques et les controverses

Le script commence par une présentation de l'année 2024 et des records de vente de voitures électriques en France, représentant 17% du marché avec 300 000 immatriculations. Malgré leur succès, les voitures électriques divisent l'opinion publique. D'une part, on a les défenseurs qui voient dans ces véhicules le futur et, d'autre part, les opposants qui préfèrent les voitures à combustion traditionnelles. Le narrateur exprime son inquiétude concernant la promotion des voitures électriques au détriment des voitures thermiques, soulignant les restrictions publicitaires imposées aux dernières et les avantages fiscaux offerts aux premières. Il critique également l'idée que les voitures électriques sont la solution écologique ultime, annonçant un dévoilement des problèmes environnementaux liés à la production de ces véhicules.

05:03

🌱 Problèmes environnementaux liés à l'extraction des ressources pour les batteries

Le script aborde les conséquences écologiques de l'extraction de lithium, un métal essentiel pour la fabrication des batteries des voitures électriques. L'extraction, qui nécessite une grande quantité d'eau, est dénoncée pour sa consommation d'eau et sa déshydratation des sols, en particulier dans les régions déjà arides comme le désert d'Atacama au Chili. En outre, le script mentionne l'utilisation de cobalt, un métal extrait principalement au Congo, et le coût moral de son extraction, impliquant des conditions de travail inhumaines et l'exploitation de mineurs, y compris des enfants. Le narrateur soulève la contradiction entre la perception des voitures électriques comme écologiques et les pratiques destructrices qui les soutiennent.

10:04

🔋 Consommation d'eau et énergie pour la production des voitures électriques

Le script met en lumière le fait que la fabrication d'une voiture électrique nécessite plus d'énergie et d'eau que celle d'une voiture thermique, principalement à cause de la production des batteries. Il est mentionné que, pour compenser cet impact, une voiture électrique doit parcourir une distance considérable, variant selon le pays en fonction de la manière dont l'électricité est produite. Le script critique l'idée que les voitures électriques sont une solution écologique immédiate, soulignant les défis de la production d'électricité et la nécessité d'une infrastructure de recharge adéquate.

15:05

🏠 Difficultés de recharge et impact sur la vie quotidienne

Le script explore les défis liés à la recharge des voitures électriques, notamment la longueur du temps de recharge et la distribution inégale des bornes de recharge, qui sont plus abondantes en zones urbaines qu'en zones rurales. Il mentionne également les difficultés rencontrées par les propriétaires d'appartements pour installer des bornes de recharge à domicile. Le narrateur souligne que ces facteurs contribuent à une expérience de conduite plus stressante et moins pratique pour les utilisateurs d'automobiles, ce qui explique le rejet de certaines personnes à l'égard des voitures électriques.

🚀 Projet 'APPEL DE PHARES' pour préserver la passion automobile

Le script se termine par une annonce d'un nouveau projet appelé 'APPEL DE PHARES', qui vise à célébrer et préserver la passion pour l'automobile. Le narrateur présente une collection limitée de posters représentant des modèles automobiles iconiques, disponibles pour la vente sur le site appel-de-phares.fr. Il explique que cette initiative est plus qu'une simple vente de produits; c'est un moyen de soutenir la chaîne et de manifester fièrement son amour pour l'automobile, en réagissant à ceux qui cherchent à restreindre cette passion.

Keywords

💡véhicules électriques

Les véhicules électriques sont au cœur du sujet de cette vidéo. Ils sont définis comme des voitures propulsées par un moteur électrique, se distinguant des voitures à essence ou diesel. Dans le script, l'augmentation de leur popularité en France avec 17% des ventes de voitures est mentionnée, montrant leur progression sur le marché automobile. L'argument principal de la vidéo est que, malgré leur croissance, les véhicules électriques soulèvent des questions environnementales et de conception.

💡extraction minière intensive

L'extraction minière intensive est un processus utilisé pour extraire des ressources naturelles comme le lithium, un métal essentiel pour les batteries des voitures électriques. Le script dépeint ce processus comme destructeur pour l'environnement, asséchant les sols et consommant d'importantes quantités d'eau, ce qui met en lumière les coûts écologiques cachés de la production de véhicules électriques.

💡cobalt

Le cobalt est un élément chimique utilisé pour améliorer la capacité et la durabilité des batteries des voitures électriques. Le script souligne que l'extraction de ce métal est souvent liée à des conditions de travail inhumaines et à des problèmes sociaux, notamment en République Démocratique du Congo, où une grande partie du cobalt est extraite. Cela soulève des questions éthiques et environnementales sur l'utilisation de ressources scellées par des méthodes douteuses.

💡économie d'énergie

L'économie d'énergie est mentionnée dans le contexte de la production et de la consommation d'énergie par les voitures électriques. Le script explique que construire une voiture électrique nécessite plus d'énergie que de construire une voiture thermique, principalement à cause de la production des batteries. Cela met en évidence le paradoxe de la consommation d'énergie pour fabriquer des véhicules destinés à réduire les émissions.

💡design des voitures

Le design des voitures est abordé dans le script comme un aspect négligé de l'électrification. Alors que les moteurs électriques pourraient simplifier le design et offrir plus d'espace intérieur, le script critique le fait que les constructeurs ne tirent pas pleinement parti de ces avantages. L'accent est mis sur la perte d'identité visuelle et de style avec l'absence de calandre et la nécessité de camoufler le poids des batteries.

💡ressources en eau

Les ressources en eau sont un point clé dans la critique de la production de voitures électriques. Le script mentionne que l'extraction de lithium et la fabrication des batteries nécessitent d'importantes quantités d'eau, ce qui peut avoir un impact négatif sur les régions déjà souffrant de pénurie d'eau. Cela soulève des questions sur la durabilité de la production de batteries électriques.

💡anxiété de conduite

L'anxiété de conduite est un concept lié à la consommation d'énergie et à l'autonomie des véhicules électriques. Le script décrit comment les conducteurs peuvent ressentir du stress à mesure que la batterie se décharge, ce qui est exacerbé par l'incertitude de la disponibilité des bornes de recharge et la durée du temps de recharge. Cela contraste avec la simplicité et la flexibilité percues de la conduite d'une voiture thermique.

💡subventions et taxes

Les subventions et les taxes sont mentionnées comme des outils utilisés par les gouvernements pour influencer la demande de voitures électriques. Le script critique l'utilisation de ces激励措施 pour promouvoir les voitures électriques, suggérant qu'elles ne sont pas nécessaires si le marché les acceptait naturellement. Cela reflète les débats sur la meilleure approche pour encourager l'adoption de technologies propres.

💡passion automobile

La passion automobile est un fil conducteur de la vidéo, faisant référence à l'enthousiasme et à l'engagement des amateurs de voitures pour leur mode de transport préféré. Le script exprime un souci que l'avènement des voitures électriques pourrait menacer cette passion, en changeant le son et le sentiment de la conduite d'une voiture à moteur thermique. Cela soulève la question de savoir si la transition vers les voitures électriques doit être gérée de manière à préserver l'expérience de conduite.

💡transition énergétique

La transition énergétique est l'idée de passer d'une dépendance aux énergies fossiles à un usage plus large d'énergies renouvelables et de sources d'énergie plus propres. Le script discute de la complexité de cette transition dans le contexte de l'industrie automobile, mettant en évidence les défis environnementaux, économiques et sociaux associés à l'adoption de voitures électriques.

Highlights

La voiture électrique a représenté quasiment 17% des voitures vendues en France en 2023, un nouveau record.

Les voitures à piles divisent l'opinion publique en deux camps opposés.

Les voitures électriques bénéficient d'exonérations d'impôts et de bonus financiers pour encourager leur achat.

Les voitures thermiques sont lourdement taxées avec un malus de plus en plus sévère.

L'auteur n'est pas climato-sceptique et reconnaît la réalité du réchauffement climatique.

L'extraction de lithium, un métal essentiel pour les batteries, est écologiquement dévastatrice.

L'exploitation minière de lithium en Amérique latine contribue à l'assèchement du sol.

L'industrie électrique consomme beaucoup d'eau, parfois plus que les voitures thermiques.

Le cobalt, utilisé pour augmenter la capacité des batteries, est souvent extrait dans des conditions inhumaines au Congo.

La production d'électricité nécessaire aux voitures électriques peut être polluante en fonction de la source d'énergie.

Les voitures électriques nécessitent une grande quantité d'énergie pour leur construction, principalement due aux batteries.

Les voitures électriques doivent parcourir de longues distances pour être écologiquement avantageuses par rapport aux voitures à essence.

La transition vers les voitures électriques soulève des questions sur la capacité de production d'électricité et l'infrastructure de recharge.

La batterie des voitures électriques est très lourde et impacte les proportions et la silhouette des voitures.

La conduite d'une voiture électrique peut être stressante en raison de l'anxiété de la batterie et de la planification nécessaire pour la recharge.

La recharge des voitures électriques à domicile peut être difficile pour les propriétaires d'appartements ou de copropriétés.

L'auteur lance un nouveau projet appelé 'Appel de Phares' pour célébrer la passion automobile et soutenir la chaîne.

Transcripts

Ca y est on est à la deuxième vidéo 2024

et je ne l’ai pas encore fait alors évidemment

je vous souhaite une très bonne année à tous,

et pour bien démarrer cette nouvelle année

on va parler d’un sujet qui fâche.

Avec 300.000 immatriculations sur l’année  qui vient de se terminer en France,

la voiture électrique a représenté  quasiment 17% des voitures vendues au total,

un nouveau record qui dépasse de  50% le précédent record de 2022.

Pourtant on le sait, les voitures à  piles sont loin de faire l’unanimité

D’un côté on a un mouvement qu’on nous  présente comme le futur à tout prix,

Et dont les clients qui pensent être  stylés ou faire le bien sur terre

sont des défenseurs féroces,

Alors qu’en face on a les  opposants à la voiture électrique,

pour la plupart des passionnés  de l’automobile classique

qui ne comprennent pas ceux  qui ont choisi de se déplacer

dans un grille-pain sur roues.

Alors bien entendu, peut-être que votre  position n’est pas aussi tranchée.

Vous êtes peut être comme moi à la base,

à aimer l’automobile et s’en taper  totalement que certaines personnes

aient choisi de faire semblant  d’être heureux au quotidien

en roulant en électrique.

Le problème c’est que peu importe votre  opinion sur le sujet, il faut l’avouer,

il y ’a un camp qui est en  train de gagner du terrain.

Depuis un petit moment

il est interdit de faire de la pub à  la télé pour les voitures thermiques,

c’est pour ça que les constructeurs parlent  de leur modèle électrique ou hybride

puis intègrent toute leur gamme à la fin du spot.

Les électriques profitent d'exonérations d’impôts

et de bonus financiers pour  encourager leur achat.  

Et bien sûr en opposition à ça

les véhicules thermiques sont lourdement taxés

avec un malus de plus en plus sévère,

mais bon si vous suivez la chaîne je  suis sûr que ça ne vous a pas échappé.

Alors voilà,

qu’on aime l’électrique à la limite  c’est un choix douteux mais personnel,

en revanche qu’on cherche à  tout prix à faire disparaître  

l’automobile classique c’est autre chose,

et c’est ça qui m’a poussé à faire  les recherches et à passer des heures

pour vous préparer cette vidéo dans  laquelle on va essayer de comprendre

Pourquoi les voitures  électriques sont détestables ?

ah oui, et restez bien jusqu’à la fin  de la vidéo parceque j’ai une annonce  

à vous faire, et ça risque de vous plaire !

OK, OK je sais,

la réponse simple et même simpliste  à la question de savoir si

c’est bien ou pas la voiture électrique

on nous bourre le crâne avec  et depuis assez longtemps :

la planète est en train de brûler,  on va tous mourir, donc il faut agir.

Là dessus on est d’accord

mais je suis obligé de préciser pour contrer les  écolo-furax et les fan de Greta en commentaires

que évidemment je ne suis pas climato-sceptique :

comme 99,9% des gens qui vont regarder cette vidéo

je pense que le réchauffement climatique est réel,

je suis soucieux de la chute de la biodiversité

et je n’ai pas de leçons à recevoir  sur mon empreinte carbone globale

juste parceque j’aime les  voitures avec un vrai moteur.

Ce qui serait appréciable c’est que nos  petits copains qui font la police sur internet

et qui vérifient la recharge de leur voitures  électrique fabriquée en chine sur leur Apple Watch

sachent me différencier une feuille  d’érable d’une feuille de platane

plutôt que de vouloir tout simplement  interdire ce qui fait vibrer les gens

en répétant les discours  qu’ils ont entendu ailleurs.

C’est vrai que c’est plus facile d’aller vite

en disant que tous les automobilistes  sont des enfoirés qui polluent,

alors que pour comprendre le  problème et saisir le mensonge

il faut avoir une toute petite  connaissance de l’industrie :

Qui dit voiture électrique dit batterie,

et qui dit batterie dit Lithium.

Le lithium c'est un métal très léger,

c'est d’ailleurs le plus léger de tous  les métaux solides à température ambiante.

Il joue un rôle clé dans la  fabrication des batteries

puisqu’il permet de stocker beaucoup  d’énergie dans un espace relativement petit.

Le problème si vous êtes un  écolo pro-voiture électrique,

c’est que le lithium ne  devrait pas être votre copain :

il s’extrait grâce à une  exploitation minière intensive

et par l’évaporation de l’eau où il se trouve.

Résultat des courses : son  extraction assèche totalement le sol.

70% des réserves mondiales de lithium  se trouvent en Amérique latine,

une région qui est de base assez  bien confrontée à la sécheresse,

et rien que dans le désert d'Atacama au Chili

c’est plus de 430 milliards  de litres d'eau qui ont déjà  

été gaspillés pour l'extraction du lithium.

C’est évidemment un désastre  sur le plan écologique

mais de toute façon c’est bien trop loin  de chez nous pour qu’on en entende parler.  

L’extraction du lithium est tellement une  catastrophe écologique à elle toute seule

que j’ai même pas besoin de  parler en détail du processus

de fabrication des puces électroniques  qu’on retrouve en masse dans les batteries.

Allez juste un chiffre pour le plaisir :

le numéro 1 du secteur, qui s’appelle TSMC

consomme 150.000 litres d’eau par  jour pour fabriquer les petites puces.

Le procédé industriel nécessite tellement  d’eau qu’un rapport du congrès américain

a même statué qu’une voiture électrique  consomme quasiment 60% d’eau de plus

qu’une voiture thermique pendant toute sa vie. Et bien sûr, en plus du lithium,

il faut d’autres matériaux comme du cobalt.

Le Cobalt,

c’est un élément chimique métallique

que l’on utilise pour augmenter la  capacité et la durabilité des batteries

puisqu’il résiste à des températures très élevées.

On le trouve principalement au Congo,

qui en extrait 120.000 tonnes par an  alors que le deuxième pays producteur,

l'Australie,

produit moins de 6.000 petites tonnes par an.

Et ce Cobalt, il a un lourd prix moral :

les ONG qui enquêtent sur place  alertent depuis des années

sur le sort des travailleurs  qui extraient le minerai :

ce serait plus de 200.000  adultes et 40.000 enfants

qui creusent le sol dans des conditions  indignes pour quelques dollars par jour.

Le pire dans tout ça c’est que le Cobalt  est exploité à 80% par des intérêts Chinois

qui possèdent les mines, donc la richesse  créée sur place s’enfuit à l’étranger,

ce qui laisse le Congo avec un des revenus  par habitants le plus faible du monde.

Les conditions de travail insupportables,

l’exposition aux poussières cancérigènes,

le travail des enfants,

et la multiplication des mines clandestines  encore plus dangereuses que les mines officielles

ont valu au cobalt le surnom  de « diamant de sang ».

Et encore une fois, c’est trop loin  de chez nous pour qu’on vous en parle

quand on cherche à vous  vendre une voiture “propre”.

On a aussi souvent l’argument de  notre dépendance nocive au pétrole,

qui serait une bonne raison pour  changer totalement notre mode de vie,

mais la voiture électrique  ne solutionne pas ce problème

puisque l’union européenne est  tout aussi dépendante du cobalt

qu’elle ne l’est du pétrole.

Une électrique comme son nom l’indique,

c’est aussi de l’électricité pour que ça roule,

et alors là on se régale.

Avant même de pouvoir rouler,

l’Agence de l’Environnement et de  la maîtrise de l’Energie (ADEME)

a calculé qu’il faut 70.000 mégajoules  d’énergie pour construire une voiture thermique,

contre 120.000 pour une voiture électrique.

50% d’énergie en plus nécessaire,

principalement à cause de la batterie.

En partant de la mine

jusqu’à la voiture dans le showroom

en passant par le transport et le  raffinage des matières premières,

toute la chaîne de production consomme énormément.

On considère qu’une voiture  électrique doit parcourir

au moins 40.000 kilomètres

avant d’être meilleure  qu’une essence ou un diesel.

Alors on pourrait se dire  que c’est pas grand chose,

mais ça c’est dans le meilleur  des mondes si on part du principe

que l’électricité nécessaire pour la faire  rouler n’émet aucune émission de CO2.

Le pays le plus propre du monde niveau  production d’électricité c’est la Norvège,

qui a 95% d’électricité décarbonée.

Je vous rassure, c’est un  exemple absolument unique,

quasiment une anomalie sur la planète.

La vérité c’est que pas très  loin de chez nous, en Allemagne,

on utilise du gaz,

du charbon

et du fioul

pour produire l'électricité et

une voiture électrique là-bas  est écologiquement “rentable”  

après plus de 160.000 kilomètres parcourus.

En Pologne, c’est encore pire.

Chez nous en France

on est environ à 70.000 kilomètres

grâce à notre parc nucléaire  que les écolos détestent,

et vu que les français font en  moyenne 13.000 kilomètres par an

il faudrait au minimum 5 ans pour que  dans un pays développé comme le nôtre,

la voiture électrique soit amortie et  commence à polluer moins qu’une essence.

5 ans si on estime que la batterie  garde toujours la même efficacité,

mais on sait déjà que ce n’est pas le cas.

Inutile d’aller plus loin  tellement les faits sont parlants,

et on est pas là pour faire  une vidéo de deux heures

donc je vais même pas développer  le sujet des batteries à recycler,

de l’électricité qui est produite  par des immenses centrales à charbon,

du parc automobile à convertir totalement  sans les capacités industrielles nécessaires,

de l’élargissement du fossé  entre les villes et la campagne,

entre les pauvres et les riches,

du problème des bornes,

de la flambée des prix des  voitures et de l’électricité,

ou des milliards d’euros de taxes  qu’on va devoir retrouver ailleurs.

Toutes ces choses,

elles font partie de la véritable facture  technique qui n’est évidemment pas mise en avant.

Bon, ça fait déjà un petit moment qu’on  parle de la technologie électrique

mais vous savez bien que sur cette  chaîne mon expertise c’est le design.

J’ai trop souvent entendu dire qu’au final  que la voiture soit électrique ou non

ça changeait rien au style,

que ça ne concernait que la partie mécanique

et que c’était pas grave du tout pour le design.

Alors c’est parti, on va éclaircir le sujet  ensemble et on comprendre ce qui cloche

- Partie II : Le musée des horreurs

“Que la voiture soit électrique ou  pas, ça ne change rien au design”.

Je ne sais même plus combien de  fois j’ai entendu cette phrase

et on va donc reprendre les bases  ensemble et comprendre pourquoi

c’est vraiment une bêtise.

La première transformation,

elle aurait dû se trouver à l’intérieur.

Un moteur électrique n’a pas besoin d’une  boîte de vitesses complexe à 6, 7 ou 8 rapports

puisqu’il a un couple constant

et il n'y a pas de haut régime ou de bas régime.

Les moteurs sont généralement  placés directement sur les roues

et il n’y a donc pas besoin  d’arbre de transmission,

pas besoin d’embrayage,

ni bien-sûr de réservoir de carburant.

Tout cet espace gagné devait nous offrir des  perspectives pour repenser l’habitabilité

et augmenter l’espace à l’intérieur des voitures  en conservant le même encombrement sur la route.

Et sans suspens, est-ce  que ça s’est produit : non.

En général on a bien un plancher plat

et on récupère juste un petit espace sous  le tableau de bord qui sert un peu à rien,

mais on est vraiment loin de la révolution.

A l’extérieur, le changement  évident c’est l’absence de calandre,

qui était indispensable pour respirer  comme le nez au milieu d’un visage

sur nos bonnes vieilles voitures thermiques.

Avec l’électrification,

elle est devenue aussi utile  qu’un parasol dans une grotte

puisque les moteurs n’ont plus besoin de la  même quantité d’air pour le refroidissement.

Les designers se sont donc retrouvés

avec une toile blanche à  exploiter à l'avant des véhicules,

mais c’est pas forcément une bonne nouvelle.

La calandre, qui existe depuis  l’invention de l’automobile,

est un vecteur d’identité super fort qui  donne de la personnalité aux voitures.

Une façade lisse comme chez Tesla ne transmet pas  

la puissance ou l’animalité  d’une automobile classique.

Et pire encore, on a parfois des calandre  symboliques comme sur la Ford Mustang-E

présente pour le style plutôt  que par fonctionnalité,

qui donne un effet plastique  noir assez bas de gamme.

Mais bon à la limite tout  ça on pourrait s’y habituer,

seulement une fois de plus le vrai  problème vient de la batterie.

La batterie c’est très lourd

et on a besoin d’espace pour la ranger,

alors on la cale au plus proche du sol pour  abaisser au maximum le centre de gravité

et éviter d’avoir une voiture qui donne la  nausée ou qui se retourne au premier virage.

Contrairement aux voitures traditionnelles

où l'espace sous le plancher  est relativement libre,

dans une électrique on a au moins  une bonne dizaine de centimètres

de batteries sous l’habitacle

et ça a un impact direct sur la hauteur totale

et la silhouette de votre automobile.

Croyez-moi,

c'est pas juste une question  de quelques centimètres ;

ça massacre totalement les  proportions de la voiture.

A cause des batteries,

les proportions classiques  auxquelles nous sommes habitués

sont complètement déformées :

les voitures apparaissent plus hautes,

plus grasses,

presque gonflées

et c’est pour ça que les constructeurs  abusent de la silhouette SUV :

c’est un bon moyen pour essayer  de camoufler cette prise de poids.

Faites la comparaison entre une voiture thermique

et son équivalent en électrique,

le résultat est sans appel.

Mais au-delà du style, conduire  c’est aussi une expérience.

Sur un diesel ou sur une essence,

on pourrait parler du bruit et des  vibrations qui rendent l’objet vivant  

et qui procurent du plaisir aux conducteurs,

mais il n'y a que les amoureux  d’automobiles qui peuvent comprendre ça

donc on va se concentrer sur  ce qui ne se passe pas bien.

Sur une thermique,

il y a UN événement qui déclenche immédiatement  un pic de cortisol aussi appelé hormone du stress,

c’est l’allumage de la réserve de  carburant et la possible panne d’essence.

Pourtant une réserve standard propose généralement

au moins 50 km d’autonomie

et le nombre de stations essence  aux quatres coins du pays

permet de faire le plein et de  repartir en moins de 10 minutes

si on s’y prend correctement.

Dans une électrique,

ce déclenchement du stress  arrive beaucoup plus tôt :

chez une majorité de conducteurs,

c’est en moyenne à partir du moment où la  jauge d’autonomie indique moins de 40%,

avec en plus l’incertitude liée  au déchargement de la batterie

qui varie en fonction des conditions  météos ou de la route empruntée.

Sans même rentrer dans le sujet des bornes,

de leur nombre et de leur disponibilité,

ça implique une conduite plus stressée

car l’utilisateur est à la  merci du moindre imprévu

et subit une pression beaucoup plus fréquente

de ne pas pouvoir terminer  son trajet correctement.

C’est une des préoccupations majeures,

avec le prix,

qui explique pourquoi les gens  ne se ruent pas tous directement

et avec plaisir chez leur concessionnaire  pour adopter une voiture électrique.

Cette inquiétude est d'autant plus fondée

que la densité et l'accessibilité des réseaux  de recharge sont encore inégalement répartis,

avec une concentration plus  élevée dans les zones urbaines

et une disponibilité plus limitée  dans les régions rurales ou éloignées.

Le temps de recharge lui aussi,

nettement supérieur à celui d'un  plein de carburant traditionnel,

représente un autre obstacle.

Et même si la technologie des  bornes de recharge rapide évolue,

elle n'est pas encore suffisamment répandue pour  offrir une solution pratique à grande échelle.

Du coup les longs trajets

ou les voyages pour partir en vacances

nécessitent une planification minutieuse,

encore un frein qui peut  dissuader certains conducteurs

habitués à la flexibilité d’une bonne  vieille voiture à moteur thermique.

En plus de tout ça,

la difficulté de recharge à domicile

est aussi un facteur déterminant  qui n’est pas mis en avant.

Si vous êtes propriétaires de  maisons individuelles, tout va bien !

Dans la majorité des cas,

vous pouvez installer votre  propre borne de recharge,

mais ceux qui vivent en appartements ou en  

copropriétés se heurtent à  des défis supplémentaires,

comme l'obtention des autorisations nécessaires

et le partage des coûts d'installation.

Malgré l’interdiction,

on a pas fini de voir passer des câbles  électriques n’importe comment en bas des immeubles

ou qui pendent aux balcons pour aller  recharger une voiture garée en pleine rue.

Tout ces petits détails du quotidien

- qui au final n’en sont pas -

font du passage à l’électrique une  vrai galère pour la majorité des gens

qui ne disposent pas d’une maison individuelle,

et représente un recul dans la simplicité  de l’expérience liée à la voiture.

C’est pourquoi on a encore 6 français sur 10

qui ne voient pas les véhicules  électriques comme le futur de l’automobile.

C’est simple, en Europe nous sommes avec les  Autrichiens le plus pessimistes sur ce sujet.

Pour passer au tout électrique,

encore faut-il voir cette  motorisation comme celle du futur.

Et en France la sauce prend  plus lentement qu’ailleurs,

alors l'État s’en mêle et offre des cadeaux  pour dynamiser les ventes du secteur.

C’est la magie de chez nous :

Quand quelque chose fonctionne mais  que tu as envie de t’en séparer,

tu le taxes,

et quand le marché refuse une  innovation et que ça ne fonctionne pas,

tu le subventionnes bien convenablement

pour lui donner un coup de pouce :

c’est précisément ce qui se passe  avec la sacro-sainte mobilité douce

écologique et responsable,

mais n’allez pas croire que ça  fait plaisir aux constructeurs…

- Partie III : “Light is right” Carlos Tavares lui-même,

le patron du géant Stellantis,

n’hésite plus à donner son avis  très tranché dans la presse.

Tendez-lui un micro et vous  saurez ce qu’il en pense :

pour lui, imposer l’électrique est une  folie et l’Europe fait tout à l’envers !

Un discours qui tranche

avec le silence des autres dirigeants  de grands groupes automobiles,

et qui est d’autant plus surprenant que

Stellantis est un des poids  lourds de la voiture électrique.

La stratégie des marques du groupe  a pivoté vers l’électrification

et d’énormes investissements ont été faits,

mais le PDG est prêt à revenir dessus.

Pour lui,

la décision d’arrêter la vente  de voitures thermiques en Europe

à l’horizon 2035

est tout simplement impossible à tenir,

et le dogmatisme des politiques est  totalement déconnecté de la réalité.

“Ce n’est pas acceptable dans l’Union  Européenne, qui est une union de pays  

démocratiques, que l’on dise un matin  “tu ne pourras plus utiliser ta voiture”.

Pourquoi ? Parceque je te l’ai dit !  On ne peut pas décider que les gens  

perdront leur liberté de mouvement,  simplement parceque ça ne répond  

pas à la stratégie politique de  fin des véhicules thermiques.”

Il insiste aussi sur le fait que  cette mesure très largement contestée

ouvre un boulevard aux marques Chinoises

qui produisent 30% moins cher qu’en Europe,

et obligera les constructeurs  occidentaux à vendre à perte,

perdre des parts de marché,

et licencier en masse.

Qu’on aime ou pas Monsieur Tavares,

qu’on partage son avis ou pas,

on peut au moins reconnaître que  contrairement à beaucoup de politiciens,

il sait de quoi il parle  quand il s’agit d’automobile.

Chez les designers c’est pareil :

la voiture électrique est loin de faire  l’unanimité pour une raison simple,

c’est un métier de passion

donc forcément les studios  des constructeurs sont remplis

en immense majorité des fans de bagnoles

qui ont une culture automobile,

qui apprécient les plaisirs liés à  la conduite d’une voiture thermique,

et qui ont bien compris que  la disparition des contraintes

et la révolution du style qu’on leur avait promis

n’existait pas, bien au contraire.

Et au sujet de la passion automobile

il y’a un argument massue

que les disciples de la batterie

ont toujours plaisir à nous rappeller :

une voiture électrique, ça marche fort !

C’est vrai qu’on peut atteindre  des chiffres d’accélération

assez fous car la puissance  est disponible immédiatement

et ça change la donne, faut l’avouer.

Mais au delà du zéro à 100 en ligne droite,

tout passionné de sport auto  connait la phrase de Colin Chapman,

le génie de la mécanique qui a fondé  Lotus et modelé la formule 1 moderne

:”Light is right”, ce qui est léger est bien.

Il a aussi précisé plus tard

“Ajouter de la puissance vous rend plus rapide en  

ligne droite. Enlever du poids  vous rend plus rapide partout »

Le poids est l’ennemi de la performance,

et peu importe le nombre de watts  sur votre voiture électrique

vous aurez toujours une batterie lourde à emmener,

donc cette idée de performance  est vraiment à relativiser.

D’ailleurs c’est marrant,

les records d’accélération  et la puissance immédiate

c’est LE nouvel argument toujours mis en avant,

comme si ça faisait automatiquement de  la voiture électrique un bon produit.

A croire que les conducteurs qui s’amusent à  cramer leur batterie dès que le feu passe au vert

sont la nouvelle version des kékés en seat léon FR

qui s’amusaient à humilier  le voisin au départ du feu

avant de freiner 200 mètres plus loin  quand le feu suivant était rouge.

Concrètement c’est vrai qu’avec une Tesla  tu peux péter une Porsche au démarrage,

mais c’est pas pour ça que les gens te respectent

Peut-être que la voiture  électrique est plus efficace,

de la même manière qu’un micro-ondes est  un outil plus efficace qu’un feu de bois.

Mais heureusement il y a encore  des gens sur cette planète

à qui ça ne viendrait pas  à l’idée une seule seconde

de manger une côte de boeuf au micro-ondes.

Si vous avez suivi la vidéo jusqu’ici,

c’est sûrement que vous êtes un  vrai passionné d’automobiles.

Et peut-être que comme moi,

vous sentez que cette passion,

cette étincelle qui nous unit,

est de plus en plus menacée.

Petit à petit,

certains tentent de la faire disparaître

pour tout simplement nous empêcher de la vivre.

On avance vers un futur où le  ronronnement d'un moteur thermique

ou la courbe élégante d'une  carrosserie emblématique

ne sont plus que des échos  d'un passé qui n’existe plus.

Un monde où la passion pour l'automobile

n'est qu'une note en bas de page de l'histoire,

mais plus j’échange avec  vous grâce à cette chaîne,

plus je réalise que c'est un avenir  que nous ne pouvons pas accepter.

Et c’est pour ça que j’ai le plaisir  de vous présenter mon nouveau projet :

APPEL DE PHARES.

Pourquoi “APPEL DE PHARES” ?

Tout simplement parce que c’est le moyen de  communication éternel des automobilistes.

Pour se prévenir d’un danger,

d’un petit bonhomme en bleu caché

ou pour se remercier,

on l’utilise tout le temps  pour échanger sur la route..

Mon idée, c’est de maintenir bien  vivante la passion automobile,

et ça commence aujourd’hui  avec une collection d’affiches

qui rendent hommage à certaines des  plus belles voitures de l’histoire.

5 modèles iconiques,

dessinés à la main puis à la tablette numérique,

qui sont imprimés sur du  papier de qualité artistique

et disponibles dès maintenant en 3 formats

et en édition limitées à 100 exemplaires

sur le site appel de phares.fr,

le lien est en description et dans  le premier commentaire épinglé.

Pour moi cette première collection  de posters d'automobiles,

c’est plus qu'une simple décoration,

c’est une célébration et un hommage à ces icônes  qui ont façonné notre amour pour l'automobile.

C'est une fenêtre ouverte sur un  monde où la passion ne meurt jamais,

où chaque ligne et chaque  courbe raconte une histoire.

C’est un projet que j’ai mis beaucoup  d’énergie à préparer depuis des mois,

et j’espère qu’il vous plaira autant que  j’ai eu de plaisir à dessiner ces beautés.

C’est une manière pour moi de  continuer à vivre cette passion à fond,

et pour tous ceux qui me l’ont déjà  demandé par message ou par commentaire,

c’est une super manière d’aider la chaîne  tout en affichant fièrement votre passion.

Rendez-vous dès maintenant sur  le site appel-de-phares.fr,

pour découvrir les 5 premiers modèles

en édition limitée à uniquement  100 exemplaires numérotés.

En plus pour le démarrage et pour  rendre ça accessible au maximum,

la livraison est totalement gratuite

alors choisissez celui qui parle à votre cœur

et démarrez votre collection sans attendre

parceque ça va être premier arrivé, premier servi.

Je vous remercie d’avance pour toute la force,

merci d’avoir regardé cette vidéo,

merci de préserver la flamme  de la passion automobile,

et à la prochaine.