Andrew Huberman Lashes out the TRUTH OF MASTURBATION - Why Masturbation is killing the YOUTHS!

Huberman Mentality
23 May 202304:59

Summary

TLDRLe script aborde les conséquences du recours à la pornographie et la masturbation sur le système neurobiologique. Le narrateur, un biologiste et neuroscientifique, explique comment ces pratiques renforcent une réponse dopaminergique élevée au comportement sexuel des autres, distincte de l'expérience sexuelle en première personne. Il souligne comment cela peut causer une dysfonction sexuelle et un sentiment d'emptiness post-éjaculation, lié à la libération de prolactine qui réduit la libération de dopamine et de testostérone. Le texte met en garde contre la dégradation du système dopaminergique, similaire à celle observée dans les addictions.

Takeaways

  • 🧬 L'auteur est un biologiste et neuroscientifique qui aborde la question de la masturbation et de la consommation de pornographie avec un point de vue scientifique.
  • 🔧 L'exposition répétée à des formes de stimulation sexuelle potentes, comme la pornographie, renforce une réponse dopaminergique élevée qui est différente de celle d'une expérience sexuelle en personne.
  • 🚫 Cette réinforcement n'améliore pas les compétences de communication et peut mener à des dysfonctionnements sexuels, en particulier chez les hommes.
  • 👥 Les femmes ne sont pas traitées dans le script, car leur consommation de pornographie visuelle est moins étudiée et peut différer de celle des hommes.
  • 🌡 L'arousal sexuel est initialement parasympathique, mais l'orgasme et l'éjaculation sont associés au système nerveux sympathique, qui est lié à la réponse au stress.
  • 📉 Après l'éjaculation, la prolactine augmente et inhibe la libération de dopamine et de testostérone pendant longtemps, ce qui peut affecter la capacité à former des liens avec un partenaire.
  • 🔄 La masturbation et la pornographie sollicitent le système dopaminergique et peuvent compromettre les processus de recherche de partenaire et d'interaction sexuelle saine.
  • 🤔 La question de savoir si la masturbation avec pornographie peut conduire à un lien avec soi-même est posée, soulignant la complexité de la notion de lien avec soi.
  • 💊 L'auteur compare l'effet de la pornographie sur le système dopaminergique à celui des drogues de dépendance, qui dépeuplent également ce système au fil du temps.
  • 🏠 L'auteur mentionne que la consommation de pornographie peut être comparable à rendre son environnement domestique sale, en termes de réduction de la dopamine.
  • 🚀 Il est important de noter que des pics élevés de dopamine, non associés à un effort ou une organisation personnelle, sont particulièrement dangereux pour l'être humain.

Q & A

  • Quel est le point de vue de l'interviewé sur la masturbation et la pornographie?

    -L'interviewé, étant biologiste et neuroscientifique, soutient que la masturbation et la consommation de pornographie avec des stimulations de plus en plus puissantes peuvent renforcer une réponse dopaminergique élevée à la vision d'actes sexuels, ce qui est différent de l'expérience sexuelle en première personne.

  • Quels sont les effets de la pornographie sur la fonction sexuelle masculine selon l'interviewé?

    -La pornographie peut conduire à une dysfonction sexuelle chez les hommes, en particulier en renforçant une réponse dopaminergique élevée qui est distincte de l'interaction sexuelle en première personne.

  • Comment l'interviewé aborde-t-il la question de la masturbation avec éjaculation?

    -Il mentionne que la masturbation avec éjaculation est associée à une augmentation dramatique de la prolactine chez les hommes, ce qui réduit la libération de dopamine et de testostérone pendant longtemps, ce qui peut affecter la capacité à établir des liens avec un partenaire.

  • Quelle est la différence entre la pornographie visuelle et littéraire selon l'interviewé?

    -Selon lui, les femmes n'utilisent pas la pornographie visuelle au même degré que les hommes, mais plutôt la pornographie littéraire, ce qui peut avoir des conséquences différentes sur leur comportement sexuel.

  • Quel est le rôle du système nerveux symphatique dans l'arousal sexuel?

    -Le système nerveux symphatique est fortement associé à la réponse d'érection et d'éjaculation, qui est considéré comme une réponse au stress, contrairement à l'arousal qui est dominé par le système nerveux parasympathique.

  • Comment l'interviewé relie-t-il la pornographie à la dépense de dopamine?

    -Il explique que la pornographie pousse fortement le système dopaminergique, ce qui peut entraîner une dépression de la dopamine après l'orgasme et l'éjaculation, créant un sentiment d'insatisfaction ou d'emptiness.

  • Quelle est la conséquence potentielle de la consommation de pornographie sur la recherche de partenaires?

    -La consommation de pornographie peut saper les processus de recherche de partenaires, de communication et d'interaction sexuelle saine, car elle renforce une réponse dopaminergique qui n'est pas associée à ces activités.

  • Quel est l'effet de la prolactine sur la libido après l'éjaculation?

    -Après l'éjaculation, la prolactine augmente considérablement, ce qui réduit la libération de dopamine et de testostérone, ce qui peut réduire la libido et l'intérêt pour une interaction sexuelle future.

  • Comment l'interviewé compare-t-il la consommation de pornographie à l'abus de drogues et l'addiction?

    -Il souligne que, tout comme les drogues d'abus, la pornographie peut initialement provoquer une augmentation de la dopamine, mais au fil du temps, elle peut épuiser le système dopaminergique, nécessitant ainsi des stimulations plus fortes pour atteindre le même niveau de plaisir.

  • Quelle est la différence entre une interaction sexuelle saine et la consommation de pornographie selon l'interviewé?

    -Une interaction sexuelle saine implique la communication et la relation avec un partenaire, tandis que la consommation de pornographie se concentre sur une stimulation visuelle qui renforce une réponse dopaminergique isolée, sans effort ou organisation de soi.

  • Quel est l'effet de la consommation de boissons énergisantes sur le système dopaminergique?

    -L'interviewé mentionne que la consommation excessive de boissons énergisantes, qui contiennent des composants dopaminergiques, peut aboutir à une dépense du système dopaminergique, similaire à l'effet de la pornographie et de l'abus de drogues.

Outlines

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🧠 Impact de la pornographie sur la santé mentale et sexuelle

Le paragraphe aborde les préoccupations soulevées par la consommation de pornographie, principalement chez les hommes. Le narrateur, un biologiste et neuroscientifique, explique les répercussions de l'engagement répété dans la masturbation et la consommation de pornographie. Il souligne que cela renforce une réponse dopaminergique élevée à la vision de comportements sexuels chez d'autres, ce qui est différent de l'expérience sexuelle en première personne. Il mentionne également les problèmes de dysfonction sexuelle qui peuvent découler de cette pratique, y compris une augmentation de la prolactine après l'éjaculation qui réduit la libération de dopamine et de testostérone, ce qui peut affecter la capacité à trouver un partenaire et à établir des relations interpersonnelles saines.

Mindmap

Keywords

💡masturbation

La masturbation est une activité sexuelle pratiquée par un individu sur lui-même, souvent pour obtenir du plaisir ou la libération sexuelle. Dans le script, il est question de la masturbation comme d'une activité qui, lorsqu'elle est associée à la consommation de pornographie, peut avoir des conséquences sur la réponse neurochimique et la santé sexuelle.

💡pornographie

La pornographie est un type de contenu visuel ou littéraire destiné à susciter l'excitation sexuelle. Le script discute de l'impact potentiel de la pornographie sur le comportement sexuel et la fonction érectile, en particulier lorsqu'elle est utilisée de manière excessive ou inappropriée.

💡dopamine

La dopamine est une neurotransmetteur impliquée dans la récompense, le plaisir et la motivation. Le script explique comment la masturbation accompagnée de pornographie peut renforcer une réponse dopaminergique élevée, ce qui peut être distinct de l'expérience sexuelle en personne.

💡éjaculation

L'éjaculation est le moment de la libération de sperme pendant le processus sexuel. Le script mentionne l'éjaculation comme un événement qui, lorsqu'il est associé à la masturbation et à la pornographie, peut entraîner une augmentation de la prolactine et une réduction de la dopamine et du testostérone.

💡prolactine

La prolactine est une hormone qui augmente après l'éjaculation et qui est supposée avoir un effet inhibiteur sur la dopamine et le testostérone. Dans le contexte du script, cela est lié à l'idée que la masturbation avec pornographie peut créer un sentiment d'insatisfaction ou d'vide.

💡système nerveux sympathique

Le système nerveux sympathique est une partie du système nerveux autonome qui est impliquée dans la réponse au stress et la régulation de la tension érectile. Le script indique que l'orgasme et l'éjaculation sont associés à ce système, en contraste avec la phase d'excitation sexuelle qui est dominée par le système parasympathique.

💡dysfonction sexuelle

La dysfonction sexuelle fait référence à des difficultés rencontrées dans la réalisation ou la satisfaction sexuelle. Le script aborde la crainte ou l'expérience de dysfonction sexuelle comme un possible résultat de l'exposition excessive à la pornographie.

💡communication

La communication est essentielle pour les relations sexuelles saines et émotionnelles. Le script suggère que la consommation de pornographie peut nuire à l'amélioration des compétences de communication nécessaires pour des relations sexuelles réelles.

💡dépendance

La dépendance fait référence à un état où un individu a besoin d'une substance ou d'une activité pour fonctionner normalement. Le script compare l'effet de la pornographie sur le système dopaminergique à celui des drogues de dépendance, soulignant comment une utilisation excessive peut dépeupler le système de dopamine.

💡oxytocine

L'oxytocine est une hormone associée à la confiance, l'intimité et la liaison sociale. Le script mentionne que l'oxytocine, ainsi que la prolactine, sont impliquées dans le sentiment d'insatisfaction après la masturbation avec pornographie, en l'absence de partenaire réel.

Highlights

The speaker, a biologist and neuroscientist, addresses questions about the impact of masturbation and pornography on sexual health.

Excessive masturbation with pornography can reinforce a high dopaminergic response to watching others engage in sexual behavior, which differs from first-person sexual experiences.

Pornography consumption may not improve communication skills and can lead to sexual dysfunction, particularly in males.

The speaker notes a difference in how males and females consume pornography, with females tending to prefer literary forms over visual.

The parasympathetic nervous system plays a role in sexual arousal, while the sympathetic nervous system is associated with orgasm and ejaculation.

Prolactin levels increase dramatically after ejaculation in males, which can blunt dopamine release and testosterone for an extended period.

The speaker suggests that masturbation and pornography may undermine healthy processes of finding a mate and engaging in sexual interaction.

A question is raised about whether individuals bond with themselves after sexual release through pornography, highlighting the complexity of self-bonding.

The absence of a real sexual partner after masturbation and pornography can leave an 'open loop' of neurochemicals, including oxytocin and prolactin.

Dopamine levels surge during the anticipation of orgasm and then crash below baseline, potentially leading to an a-motivated state.

The speaker compares the neurochemical effects of pornography to those of drug abuse and addiction, noting the depletion of the dopamine system over time.

Engaging in activities that release dopamine, such as healthy sexual behavior and social engagement, is not inherently harmful but should be balanced.

The speaker warns against the dangers of big dopamine peaks not associated with prior effort or self-organization.

An analogy is made between the neurochemical effects of pornography and making one's home environment filthy, suggesting a negative amplification of dopamine.

The speaker acknowledges the enjoyment of energy drinks but cautions against the stacking of dopaminergic tools without proper context.

The importance of understanding the impact of pornography on dopamine and sexual health is emphasized for a balanced perspective.

Transcripts

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I was starting to get a lot of questions

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I was kind of surprised I thought well

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you know I'm male and you know maybe

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that's why they feel comfortable asking

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me if you were saying that we're asking

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about pornography and they were asking

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you know I I realize we want to

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um you know I'll just be direct about

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they were asking whether or not

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masturbation was bad they were asking

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whether or not masturbation with

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ejaculation was particularly bad and

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here's my stance on this I'm a biologist

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and a neuroscientist not a psychologist

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but what we know for sure is that if an

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individual repeatedly engages in this

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circuitry let's say masturbation and

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pornography with increasingly

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um potent forms of stimulation that are

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on a screen a couple of things happen

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first of all what's being reinforced

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what's being reinforced is a high

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dopaminergic response to watching other

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people engage in sexual behavior which

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is very different than being in a first

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person sexual experience okay so right

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there you know that what's being

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reinforced is not actually any kind of

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improvement in communication skills it's

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Warriors them and and as these questions

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started to come in more and more I

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started to realize there was a lot of

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kind of undertones of people talking

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about fear of or experience with sexual

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dysfunction that clearly pornography can

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lead to and here I'm specifically

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talking about males I actually don't

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know the literature on females so here

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I'm talking about females don't use

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visual pornography to the same degree

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they use literary pornography

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so yeah so and then you start to think

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about okay what happens in the Cascade

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or the Arc of of sexual arousal and and

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orgasm what happens is that initially

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there's a it's parasympathetically

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dominant meaning if somebody is too uh

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stressed they actually can't engage in

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sexual behavior the arousal response

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doesn't occur

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erection is blunted but the actual

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orgasm response and ejaculation is

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strongly associated with the so-called

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sympathetic nervous system which has

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nothing to do with sympathy has

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everything to do with it's a kind of a

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stress response and then it reverses to

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a parasympathetic response and that

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hormone called prolactin increases

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dramatically after ejaculation in males

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what does that do that blunts dopamine

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release and testosterone for a very long

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period of time which makes sense if pair

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bonding and sort of you know in our

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species anywhere there's this idea that

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then other molecules would be exchanged

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with Partners pair bonding potential for

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raising mates Etc without getting into a

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huge discussion about that the point is

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this masturbation

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pornography are potently tapping into

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the dopamine system and can undermine

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the very processes of which I consider

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healthy processes of finding a mate you

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know dating communication eventually if

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it's appropriate sexual interaction Etc

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it's undermining

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oh so okay so here's a question if if if

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you're if you're seeking sexual release

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through pornography and you go through

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the whole cycle and you get a prolactin

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release do you bond with yourself so

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this is very interesting the um it's the

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biology explains it as what's left there

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is a kind of an open loop a kind of an

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emptiness right because bonding with the

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self is a complicated notion I mean it

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had there's a healthy version of that of

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course loving oneself and yeah um and

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self-referencing and again this is more

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you're done far more your domain than

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mine in terms of how what a healthy

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self-relation is but in the absence of a

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real partner there of a absence of real

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sexual partner there's an open loop of

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neurochemicals including oxytocin and

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prolactin the dopamine remember dopamine

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goes up during Pursuit anticipation then

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Peaks and then crashes below Baseline

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after orgasm and ejaculation so this

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kind of low that people fear is putting

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them into an a-motivated State we can

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think of this if I were to kind of

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expand on it would be it's the kind of a

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neurochemical psychological equivalent

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of making your home environment filthy

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for a while not actually putting you

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into this positive amplification of

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dopamine so it depletes the dopamine

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system and it's likewise in drugs of

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abuse and addiction it eventually

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depletes the dopamine system initially

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there's a huge dopamine surge with drugs

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of abuse like methamphetamine and

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cocaine but over time people are using

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more and more to achieve what is not

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such a great High you even see this a

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little bit

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with um kind of consumption of energy

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drinks like people are taking more and

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more chemicals within their energy

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drinks and they're thinking about loud

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fast music energy drinks it's kind of

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stacking of dopaminergic tools now

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that's not as pathologic in fact I'm I'm

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there are some energy drinks I'll

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occasionally drink and I enjoy them

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um I don't think we need to be entirely

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afraid of pursuing or engaging in things

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that release dopamine obviously healthy

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sexual behavior food that we love social

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engagement all of these things can be

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dopaminergic it's the big peaks in

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dopamine that are not associated with

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any prior effort or organization of self

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that are particularly dangerous for the

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human being

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foreign

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