Concerns

Summary

Le professeur Ian Brigh Hope, médecin et pionnier de la médecine intégrative, soulève des préoccupations majeures concernant la sécurité des vaccins à ARN messager. Il met en lumière des risques potentiels liés à la contamination par l'ADN synthétique et aux nanoparticules lipidiques, qui pourraient provoquer des cancers et des maladies génétiques. Il critique l'absence de surveillance des tendances cancéreuses post-vaccination et appelle à un arrêt immédiat de la distribution des vaccins contaminés. Il plaide également pour une approche plus holistique, en utilisant la nutrition et les traitements repensés pour prévenir et traiter les conditions liées au vaccin.

Takeaways

• 😀 Le professeur Ian Brighhope, médecin et pionnier de la médecine intégrative, alerte sur les risques potentiels des vaccins à ARN messager, notamment en raison de la contamination par de l'ADN synthétique.
• 😀 Il soulève la question de la contamination génétique dans les vaccins, ce qui pourrait entraîner une instabilité génomique et des risques de cancers, de maladies auto-immunes et de troubles héréditaires.
• 😀 Le professeur mentionne la détection de fragments d'ADN résiduel dans les doses de vaccins en Australie, avec des niveaux de contamination allant jusqu'à 145 fois la limite permise.
• 😀 Des cancers dits 'turbo' apparaissent rapidement après la vaccination, affectant des patients auparavant en bonne santé, souvent sous des formes agressives, comme des cancers du pancréas, des ovaires et du côlon.
• 😀 Le lien entre les vaccins et les cancers n'est pas suffisamment reconnu par les autorités sanitaires, malgré les témoignages de médecins qui observent des cancers se développant rapidement après la vaccination.
• 😀 L'ARN modifié dans les vaccins est censé pénétrer dans divers organes, y compris le cerveau, les ovaires, les testicules et le cœur, ce qui soulève des préoccupations concernant sa distribution dans tout le corps.
• 😀 Le professeur insiste sur la nécessité d'un suivi des tendances cancéreuses post-vaccination, et de la mise en place de protocoles de test pour les personnes exposées à de l'ADN synthétique.
• 😀 Il critique le manque de transparence des autorités sanitaires qui ne publient pas de données sur les tendances émergentes de cancers après la vaccination, malgré les risques soulignés.
• 😀 Selon le professeur, les autorités sanitaires devraient suspendre immédiatement la distribution des vaccins contaminés et imposer des normes de sécurité strictes.
• 😀 Il appelle à un changement radical dans les approches de la santé publique, y compris l'adoption d'approches de prévention plus naturelles, telles que la nutrition et les médecines repurposées, pour éviter de futures crises de santé publique.

Q & A

Quels sont les principaux problèmes soulevés par le professeur Ian Brighhope concernant les vaccins à ARN messager ?

Le professeur Ian Brighhope soulève des préoccupations concernant la sécurité des vaccins à ARN messager, en particulier leur capacité à contenir de l'ADN synthétique qui pourrait s'intégrer dans le matériel génétique humain. Il met en garde contre les risques de cancers, de maladies auto-immunes et de mutations génétiques potentiellement catastrophiques à long terme.

Pourquoi le professeur Brighhope critique-t-il l'absence de suivi des tendances du cancer après la vaccination en Australie ?

Il critique le manque de surveillance des tendances du cancer post-vaccination par les autorités sanitaires australiennes, soulignant que les données sur ces tendances devraient être publiées pour permettre un suivi transparent des effets des vaccins. Il craint que cette omission contribue à une crise de santé publique à long terme.

Que sont les 'cancers turbo' mentionnés par le professeur Brighhope ?

Les 'cancers turbo' désignent des cancers agressifs qui se développent rapidement et affectent plusieurs organes, souvent après l'administration de doses de rappel des vaccins COVID-19. Ces cancers, comme les cancers du pancréas, des ovaires et du côlon, se manifestent de manière explosive et plus violente que ce que l'on observe normalement.

Quelles preuves scientifiques le professeur Brighhope présente-t-il pour étayer ses inquiétudes ?

Le professeur Brighhope fait référence à des décennies de recherches sur l'intégration de l'ADN étranger dans les cellules humaines, ce qui peut entraîner des risques pour la santé. Il mentionne également la détection de fragments d'ADN synthétique dans les vaccins, ainsi que les nanoparticules lipidiques utilisées pour transporter cet ADN dans tout le corps.

Comment le professeur Brighhope décrit-il l'impact des vaccins sur les jeunes générations ?

Il signale une augmentation des cas de cancers rapides et agressifs chez les jeunes adultes, entre 14 et 40 ans, après les injections de vaccins. Selon lui, cette nouvelle tendance est inquiétante, car ces cancers, qui étaient rares, se développent maintenant beaucoup plus rapidement et avec des caractéristiques cliniques inhabituelles.

Pourquoi le professeur Brighhope remet-il en question la légitimité des mesures de confinement pendant la pandémie ?

Il critique les mesures de confinement strictes, notamment en Australie, en raison de l'absence de preuves scientifiques suffisantes pour soutenir leur efficacité. Il affirme que ces mesures ont provoqué des souffrances économiques, sociales et psychologiques, sans véritable base scientifique.

Quel est le rôle des nanoparticules lipidiques dans les vaccins à ARN messager, selon Brighhope ?

Les nanoparticules lipidiques dans les vaccins à ARN messager servent à transporter l'ARN modifié dans les cellules humaines. Brighhope s'inquiète de leur capacité à se distribuer dans tout le corps, affectant des organes vitaux tels que le cerveau, le cœur, les ovaires et les testicules, ce qui pourrait entraîner des effets secondaires graves.

Quels sont les dangers éthiques que Brighhope associe à la distribution des vaccins à ARN messager ?

Brighhope met en avant les dangers éthiques liés à la distribution des vaccins sans données de sécurité à long terme, évoquant une pression sociale et politique pour faire accepter ces vaccins sans un consentement pleinement éclairé. Il remet en question la manière dont la science a été manipulée pour justifier leur utilisation.

Quel changement le professeur Brighhope propose-t-il dans l'approche de la santé publique en Australie ?

Il propose un changement radical vers une approche axée sur le bien-être et la prévention, en mettant l'accent sur la nutrition, les médicaments sûrs et les thérapies alternatives. Il plaide pour un modèle de santé publique fondé sur la médecine préventive plutôt que sur des traitements uniquement curatifs.

Que recommande le professeur Brighhope pour prévenir une crise sanitaire liée aux vaccins ?

Il recommande plusieurs actions urgentes : arrêter la distribution des vaccins contaminés, surveiller les tendances du cancer post-vaccination, développer des protocoles de test pour les personnes exposées à l'ADN synthétique, et mener des recherches pour prévenir et traiter les conditions liées aux vaccins. Il appelle aussi à un programme éducatif sur la prévention à l'échelle des soins de santé primaires.