شنقريحة يأمر بغلق قاعات الصلاة ووحرمان العسكريين من آداء فريضة الحج والعمرة

Summary

Dans cette vidéo, l'intervenant exprime sa colère et son désarroi face à des décisions politiques et militaires en Algérie, notamment concernant la fermeture des lieux de prière et les restrictions sur le pèlerinage et l'Umrah pour les militaires. Il critique ouvertement le général Chnari pour ses actions, dénonçant l'impact négatif de ces mesures sur la liberté religieuse des soldats et leur droit d'accomplir des actes de dévotion. L'intervenant remet en question les motivations derrière ces interdictions, soulignant l'incohérence et l'absence de justification officielle. Il termine son discours avec une prière pour la prospérité de son pays et son peuple.

Takeaways

• 😀 Le journaliste Hicham Aboud critique la politique religieuse et les actions des autorités militaires en Algérie.
• 😀 Il dénonce la fermeture des salles de prière et l'interdiction de prier collectivement dans les casernes.
• 😀 Le journaliste mentionne la situation des militaires empêchés de faire le Hajj ou la Omra, soulignant une rupture avec les pratiques passées.
• 😀 L'interdiction de prier dans les casernes, y compris pendant le mois sacré de Ramadan, est présentée comme une mesure injustifiée.
• 😀 Hicham Aboud évoque la situation des soldats, se demandant pourquoi on leur interdit des rites religieux de base comme la prière et le pèlerinage.
• 😀 L'interdiction des prières collectives dans les casernes est critiquée comme étant une violation de la liberté religieuse.
• 😀 Le journaliste met en lumière la contradiction entre les valeurs islamistes et la politique du gouvernement vis-à-vis des rites religieux.
• 😀 Il souligne que la politique actuelle a conduit à une situation où même les militaires, qui étaient autorisés à accomplir ces rituels auparavant, sont désormais empêchés.
• 😀 Hicham Aboud dénonce la tentative des autorités de séparer les militaires de leur foi et leurs pratiques religieuses.
• 😀 Enfin, il conclut en insistant sur le fait que ces décisions vont à l'encontre de la constitution qui déclare que l'islam est la religion de l'État.

Q & A

Qui est Hicham Aboud, mentionné dans la transcription?

Hicham Aboud est un journaliste, qui semble également être un ami de l'orateur. Il est mentionné plusieurs fois dans la transcription, notamment en tant que personne de confiance.

Quels sont les principaux griefs mentionnés contre le général Said Chenkri?

Le général Said Chenkri est critiqué pour ses décisions religieuses et politiques, notamment l'ordre de fermer les salles de prière dans les casernes et de limiter l'accès à la prière collective. Il est également reproché d'empêcher les militaires de faire le pèlerinage ou de prier en commun.

Que signifient les références aux 'mosquées fermées' et à l'impact sur les militaires?

Les 'mosquées fermées' font référence à des salles de prière dans les casernes où les soldats, y compris les civils, prenaient part aux prières collectives et aux prières de Tarawih pendant le Ramadan. L'orateur exprime son indignation face à l'interdiction de prier dans ces espaces.

Pourquoi l'orateur parle-t-il de la fermeture des mosquées et de l'interdiction de la prière?

L'orateur s'indigne de ces décisions, qu'il considère comme une ingérence dans la liberté religieuse, surtout dans un pays musulman comme l'Algérie. Il critique l'autorité militaire pour ces actions qui entravent l'exercice de la religion.

Quel est le lien entre les militaires et la pratique religieuse dans la transcription?

L'orateur souligne que, historiquement, les militaires algériens avaient la possibilité de faire le pèlerinage et de participer à des activités religieuses comme la prière collective. Cependant, il critique le changement de politique qui empêche désormais les militaires de pratiquer librement leur foi.

Quel est l'argument contre l'interdiction de la prière et du pèlerinage pour les militaires?

L'argument avancé par l'orateur est que l'Algérie est un pays musulman et que ces actions vont à l'encontre de la constitution et des pratiques religieuses des citoyens. L'interdiction de prier ou de partir en pèlerinage est vue comme une atteinte aux libertés fondamentales.

Pourquoi l'orateur mentionne-t-il les décisions politiques de fermeture des mosquées?

Il considère ces décisions comme un exemple de la mauvaise gestion de la part des autorités militaires, notamment du général Said Chenkri, et une tentative de contrôler la pratique religieuse, ce qu'il juge inacceptable dans une nation musulmane.

Quelles critiques sont faites sur le contrôle des actes religieux dans les institutions militaires?

Les critiques portent sur le fait que l'État militaire semble exercer un contrôle excessif sur les libertés religieuses des soldats, en interdisant même des actes de dévotion de base comme la prière ou le pèlerinage.

Quelles sont les implications de l'interdiction de l'Omra et du pèlerinage pour les militaires?

L'interdiction de l'Omra et du pèlerinage est vue comme une violation des droits religieux des militaires. L'orateur semble particulièrement perturbé par ce changement de politique, soulignant qu'auparavant, les militaires avaient la possibilité d'accomplir ces actes religieux chaque année.

Comment l'orateur perçoit-il les généraux qui prennent ces décisions?

L'orateur critique vivement les généraux responsables de ces décisions, les accusant de manquer de respect envers les croyances religieuses et de ne pas respecter la constitution, qui garantit l'islam comme religion d'État.