Futurehome CEO threatens police action after I offer $5,000 bounty to free his ransomed customers 😂

Summary

Dans cette vidéo, Lewis Rossman critique les pratiques de certaines entreprises qui modifient les produits que les consommateurs ont achetés pour les forcer à payer des abonnements. Il prend l'exemple de Future Home, dont les utilisateurs ont vu leurs appareils désactivés après la faillite de la société et l'introduction d'un abonnement payant. Rossman défend le droit des consommateurs à accéder à ce qu'ils ont acheté et propose une récompense pour ceux qui réussiraient à restaurer la fonctionnalité des dispositifs, soulignant que la lutte pour la propriété et l'accès aux produits numériques est de plus en plus importante face aux abus des entreprises.

Takeaways

• 😀 Les entreprises comme Future Home manipulent souvent les produits après la vente pour imposer des frais supplémentaires aux consommateurs.
• 😀 Lorsqu'un utilisateur achète un produit, il en devient propriétaire, et il devrait avoir accès à toutes ses fonctionnalités sans être contraint à payer des frais récurrents.
• 😀 Le firmware des appareils connectés peut être modifié pour restreindre l'accès aux fonctionnalités, comme le montre l'exemple de Future Home qui a ajouté un abonnement pour activer des services autrefois gratuits.
• 😀 Un exemple est donné avec un utilisateur qui modifie le firmware d'un appareil pour restaurer ses fonctionnalités sans payer, ce qui est vu comme une action éthique contre l'entreprise qui a imposé l'abonnement.
• 😀 Le CEO de Future Home a tenté de se positionner comme la victime, une stratégie de manipulation appelée DARVO (Deny, Attack, Reverse Victim and Offender).
• 😀 Le concept de 'clean room reverse engineering' est mentionné comme étant légal pour rétablir l'accès aux fonctionnalités d'un appareil acheté.
• 😀 Il y a un débat juridique sur la légalité du piratage des appareils pour restaurer leur fonctionnalité après une mise à jour forcée. Certains estiment que cela pourrait être légal sous certaines conditions, comme l’interopérabilité logicielle.
• 😀 Le modèle commercial consistant à proposer un produit à un prix bas, puis de facturer des abonnements après la vente, est critiqué pour être une forme de manipulation financière et d'extorsion.
• 😀 Une critique est faite des lois comme le Digital Millennium Copyright Act (DMCA), qui peuvent pénaliser ceux qui tentent de restaurer l'accès à un produit qu'ils ont acheté.
• 😀 L'intervenant insiste sur l'importance de combattre les pratiques commerciales anti-consommateur et sur la nécessité de défendre les droits des utilisateurs de produits connectés.

Q & A

Quel est le problème principal décrit dans l'histoire de la voiture de Rossman Auto ?

Le problème principal est que la voiture fonctionne bien pendant 13 mois, mais après la faillite de Rossman Auto, une mise à jour bloque certaines fonctionnalités (comme la climatisation et la radio) à moins que le propriétaire ne paie un nouveau abonnement à la société successeur.

Pourquoi Lewis Rossman considère-t-il immoral et illégal le comportement de certaines entreprises de domotique ?

Il estime que ces entreprises enlèvent l'accès à des fonctionnalités achetées et payées par les clients pour exiger des frais supplémentaires, ce qui revient à une forme d'extorsion et viole le droit de propriété des consommateurs.

Que propose Lewis Rossman pour remédier à ce problème avec Future Home ?

Il offre une prime de 5 000 $ à quiconque réussit à cracker le code source du système pour rendre les appareils à nouveau fonctionnels sans avoir à payer d'abonnement.

Comment le PDG de Future Home réagit-il à cette prime ?

Le PDG indique qu'il est regrettable de devoir renforcer la sécurité au lieu d'améliorer les fonctionnalités pour les clients et considère que l'accès non autorisé au code source est un piratage illégal.

Quel concept Rossman critique-t-il en lien avec la loi et le comportement des entreprises ?

Il critique le phénomène appelé DARVO, où la victime est présentée comme l'agresseur, et l'agresseur comme la victime, ici appliqué aux PDG qui se présentent comme lésés alors qu'ils ont extorqué leurs clients.

Quelle comparaison utilise Rossman pour expliquer la situation avec Future Home ?

Il compare la situation à un propriétaire de voiture qui se voit refuser l'accès à sa climatisation et sa radio après avoir payé pour elles, soulignant l'absurdité de payer encore pour un produit déjà acquis.

Comment Rossman distingue-t-il moralement entre les parties impliquées ?

Il considère que celui qui retire l'accès aux fonctionnalités achetées est le « mauvais » et celui qui rend l'accès à nouveau possible est le « bon », même si ce dernier enfreint la loi.

Quelles lois américaines et norvégiennes sont mentionnées en relation avec le piratage et la protection des dispositifs ?

Rossman cite la section 121 du Digital Millennium Copyright Act (DMCA) aux États-Unis et la section 204 du code pénal norvégien concernant l'accès non autorisé aux systèmes informatiques.

Quelle pratique commerciale Rossman critique-t-il dans le modèle de tarification ?

Il critique la pratique consistant à vendre des services ou produits à perte pour attirer des clients, puis à imposer des frais supplémentaires après une faillite ou un changement d'entreprise, ce qui pénalise les consommateurs.

Pourquoi Rossman mentionne-t-il le chat Blackberry dans la vidéo ?

Il utilise Blackberry pour illustrer de façon humoristique la logique de DARVO : donner un objet (une friandise) puis le retirer, montrant comment les entreprises manipulent les clients en changeant les termes d'un produit après l'achat.

Quel message global Rossman veut-il transmettre aux consommateurs ?

Il veut sensibiliser les consommateurs à leurs droits de propriété sur les produits achetés et encourager la résistance contre les pratiques qui retirent l'accès aux fonctionnalités payées, même si la loi actuelle criminalise certaines actions de récupération.