مهازل تبون.. وزير المالية يتهرب من مسؤوليته تجاه سوق العملة الصعبة ونائب يعلن الحرب على الفلسفة

Summary

Ce discours critique profondément le régime algérien, déplorant la domination de l'armée et des milices armées sur la société, à la place des institutions démocratiques. Il expose des problèmes majeurs comme la corruption, le marché noir de la devise, et le manque de réformes économiques essentielles. L'intervenant pointe également l'inefficacité des autorités, mettant en lumière des échecs dans la gestion des promesses présidentielles, des subventions touristiques, et des problèmes dans l'éducation, comme le débat sur la suppression de la philosophie au baccalauréat. Ce discours reflète un mécontentement généralisé et une dénonciation des pratiques du régime actuel.

Takeaways

• 😀 Le régime algérien est décrit comme une bande qui contrôle le pays par des milices armées, et non comme un gouvernement fonctionnant avec des institutions démocratiques légitimes.
• 😀 La notion de 'parlement' en Algérie est critiquée comme étant une farce, avec des représentants nommés par les services de renseignement et non élus démocratiquement.
• 😀 L'Algérie est accusée de cibler des politiques et des régions pour couvrir les scandales du régime et protéger sa position au pouvoir.
• 😀 L'implication du régime algérien avec le régime iranien et d'autres acteurs étrangers est mise en lumière comme un facteur dangereux pour la position internationale de l'Algérie.
• 😀 La politique économique de l'Algérie, notamment le marché noir de la devise, est fortement critiquée. Le marché noir est dominé par des généraux qui contrôlent l'économie en manipulant la monnaie.
• 😀 Le ministre des Finances, Abdelkrim Bouzerd, est accusé de fuir sa responsabilité en attribuant la gestion de l'économie à la banque centrale, tout en laissant le marché noir prospérer.
• 😀 Le gouvernement algérien est accusé d'échec dans sa gestion de la monnaie, du marché noir et du blanchiment d'argent, et de ne pas prendre de mesures concrètes pour fermer ce marché parallèle.
• 😀 La question des bureaux de change est abordée comme une autre farce, où le gouvernement prétend avoir un cadre réglementaire mais ne prend aucune action pour empêcher le marché noir.
• 😀 L'Algérie figure sur la liste grise du Groupe d'action financière (GAFI) concernant le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, ce qui est perçu comme une humiliation pour le pays.
• 😀 Le ministre des Finances rejette la responsabilité de l'implémentation des décisions financières du gouvernement sur d'autres institutions, notamment la Banque d'Algérie, dans le cadre du financement du tourisme.
• 😀 Un débat sur la pertinence du sujet de la philosophie dans les examens du baccalauréat a émergé, après qu'un député ait proposé de l'annuler, ce qui a provoqué une réaction dans les médias et sur les réseaux sociaux.
• 😀 Les farces politiques, économiques et sociales illustrent l'incapacité du régime à répondre aux besoins fondamentaux du peuple algérien et à mettre en œuvre des réformes substantielles.

Q & A

Quel est le principal problème politique en Algérie selon l'orateur ?

L'orateur souligne que le problème principal en Algérie est la domination du pays par une gang de généraux militaires plutôt que par des institutions démocratiques légitimes, ce qui mène à une situation de contrôle autoritaire à travers des milices armées.

Qu'est-ce qui caractérise le parlement algérien, selon l'orateur ?

L'orateur décrit le parlement algérien comme une farce, soulignant qu'il ne s'agit pas d'une véritable institution démocratique, mais plutôt d'un espace contrôlé par des représentants nommés par les services de renseignement et non élus de manière légitime.

Comment l'orateur décrit-il la situation économique de l'Algérie ?

L'orateur décrit une économie algérienne dominée par un marché noir de devises, où les généraux contrôlent la monnaie et où les banques sont vides. Il critique aussi la gestion de l'économie par le gouvernement, qui échoue à résoudre les problèmes de base comme la fermeture des marchés parallèles de devises.

Quelles sont les critiques faites contre le ministre des Finances Abdelkrim Bouzerd ?

Le ministre des Finances est critiqué pour sa gestion de la crise économique, notamment sa réponse décalée concernant la responsabilité du marché noir de devises. Il est aussi accusé de fuir ses responsabilités en rejetant la faute sur d'autres institutions comme la Banque d'Algérie.

Que pense l'orateur de la politique de la Banque d'Algérie concernant les devises étrangères ?

L'orateur critique vivement la Banque d'Algérie, soulignant que le marché noir est soutenu par des acteurs au sein de l'armée et que les efforts pour réguler ce marché sont inexistants. Il insiste sur le fait que la fermeture du marché noir est une nécessité pour restaurer la crédibilité économique du pays.

Pourquoi l'Algérie est-elle sur la liste grise de la FATF ?

L'Algérie est classée sur la liste grise de la FATF (Groupe d'action financière) en raison de son incapacité à lutter efficacement contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, avec un marché noir de devises incontrôlé et des pratiques de blanchiment d'argent qui persistent.

Quelle est l'attitude du ministre des Finances vis-à-vis de la question des offices de change ?

Le ministre des Finances semble minimiser l'importance de la question des offices de change, arguant qu'il est inutile d'ouvrir de nouveaux bureaux d'échange tant que le marché noir existe. Il suggère que les acteurs concernés sont ceux qui bénéficient de l'absence de régulation.

Quel est le problème majeur soulevé concernant les aides touristiques en Algérie ?

L'orateur critique le retard et l'inefficacité du gouvernement algérien à mettre en place une aide touristique promise par le président Tebboune. Il dénonce le manque de coordination entre le ministère des Finances et la Banque d'Algérie pour activer ces aides, qui sont restées sans effet.

Quelle est la controverse autour de la philosophie dans les examens du baccalauréat en Algérie ?

Un député a proposé de supprimer la philosophie des examens du baccalauréat, déclenchant une vague de critiques. L'orateur défend l'importance de la philosophie, même s'il suggère qu'elle pourrait être rendue facultative, soulignant la superficialité du débat alors que de vrais problèmes politiques et économiques persistent.

Quelle est la position de l'orateur concernant les représentants politiques en Algérie ?

L'orateur critique sévèrement les représentants politiques algériens, les qualifiant de médiocres et incompétents. Il pointe l'irresponsabilité de certains députés qui, plutôt que de s'attaquer aux problèmes majeurs du pays, préfèrent se concentrer sur des sujets triviaux comme l'enseignement de la philosophie.