Les secrets de la nourriture dans KAAMELOTT
Summary
TLDRDans cette vidéo passionnante, l'auteur explore l'importance de la nourriture dans l'univers de Kaamelott, non seulement comme un outil pour les acteurs et la narration, mais aussi comme un élément clé de l'intrigue et un reflet de la culture et des personnages. La bouffe est omniprésente, servant de prétexte pour avancer l'histoire, illustrer le quotidien des héros et créer des liens sociaux. L'auteur analyse également comment le rapport des personnages à la nourriture évolue en fonction de leur état d'esprit et de l'avancée de l'intrigue, soulignant le rôle central de la nourriture dans la quête du Graal et la déconstruction du mythe arthurien. La vidéo est un hommage à la gastronomie et à son impact sur la vie des personnages, tout en étant un appel à la découverte de notre propre histoire familiale grâce à MyHeritage.
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Transcripts
« Terrine de lièvre aux morilles, avec morceaux de châtaigne et foies confits.
Ah mais quand même avant de dormir ! Avant, après, pendant ! Il faut toujours abuser
des bonnes choses ! » Dans Kaamelott, ce n’est un secret pour personne, les personnages
passent leur temps à bouffer.
Mais alors, pourquoi ? Pourquoi la bouffe est-elle omniprésente dans Kaamelott ? À
cette question, voilà ce qu’Alexandre Astier a répondu : « Mais parce que la bouffe,
c’est une béquille géniale pour la comédie.
J’adore ça.
Ça oblige l’acteur à être détaché de ce qu’il dit, à faire passer le texte au
second plan, à se concentrer sur quelque chose de très trivial, de très concret,
de très quotidien.
Sa première préoccupation, c’est bouffer, et ensuite seulement vient le texte.
Ça aide beaucoup, la bouffe.
Ça peut même rendre le jeu plus élégant.
D’ailleurs, Brad Pitt fait ça tout le temps.
Regardez bien, il est toujours en train de mâcher quelque chose. »
OK ! Ça c’est pour ce qui est des acteurs.
La bouffe est un outil pour le jeu et c’est pour ça que sur la table, il n’y a que
de la bouffe facile à manger.
Du pain avec du fromage ou de la charcuterie, des fruits ou des légumes crus, à la rigueur
une volaille et en avant.
Parce que si la bouffe oblige l’acteur à se détacher du texte, elle ne doit pas le
gêner pour autant.
Donc en résumé, on prend des bons acteurs, on leur file à bouffer et paf ça fait Kaamelott.
« C’est pas si simple. »
Non, c’est pas si simple.
Ça c’est uniquement comment est utilisée la bouffe de manière très concrète.
En plus, l’entretien dont est tiré la citation d’Alexandre Astier date de 2011, donc si
vous êtes du genre à être abonnés à cette chaîne, je pense que je ne vous apprends
rien.
Non, moi ce que je me demande c’est : dans Kaamelott, la bouffe, qu’est-ce que ça
raconte ? « Aaah…
Apparition inexpliquée.
Aaah... »
Mais avant d’aller plus loin, cette vidéo est sponsorisée par MyHeritage.
Alors vous connaissez peut-être : MyHeritage c’est le service d’histoire familiale
n°1 qui vous permet notamment de construire facilement votre arbre généalogique pour
découvrir vos origines et pourquoi pas, de nouveaux ancêtres.
Le site met à votre disposition plus de 19 milliards de documents historiques et il est
hyper simple à prendre en main.
Du coup, je me suis dit qu’il était temps de répondre à une question que je me pose
depuis pas mal de temps : est-ce que j’ai un peu d’exotisme dans ma famille ? Je
vous explique.
Actuellement je vis dans le Tarn, j’ai grandi dans l’Hérault et je suis né dans l’Aveyron.
Donc j’ai pas beaucoup bougé, mais je pense que mes ancêtres non plus.
Que ce soit mes parents, mes grands-parents ou mes arrières grands-parents, tout le monde
est né dans l’Aveyron ou en Lozère.
Mes ancêtres proches c’étaient principalement des paysans et je me demande si ça a toujours
été le cas.
Donc j’ai commencé à remplir mon arbre généalogique et j’ai très vite eu accès
à des documents d’archives qui m’ont permis pour certaines branches de remonter
jusqu’à la Révolution Française.
Alors j’ai d’abord découvert que mon arrière-arrière-arrière grand-mère s’appelait
Seguin et qu’elle a vécu à l’époque où Alphonse Daudet a écrit la chèvre de
monsieur Seguin, donc ça sentait déjà pas bon pour l’exotisme.
Mais celui qui a définitivement plié le game c’est mon arrière-arrière-arrière-arrière-arrière
grand-père qui s’appelait Antoine Pratlong et qui, pendant la Révolution, vivait déjà
dans un tout petit bled de Lozère où j’ai encore des membres de ma famille.
Non sans déconner, je sais que j’y suis allé quand j’étais gamin.
Donc mes ancêtres c’étaient des potes à Guethenoc et Roparzh en fait.
"Y va arriver un moment où y a des granges qui vont se mettre à flamber, faudra pas
demander d'où ça vient!"
Mais bref, vous aurez peut-être plus de surprises de votre côté, car en cliquant sur le lien
en description vous profiterez d’une période d’essai gratuite de 14 jours et si vous
souhaitez poursuivre votre abonnement, vous bénéficierez d’une réduction de 50%.
Et maintenant que MyHeritage a répondu à ma question, on peut continuer.
« Bon, je vais essayer de trouver un petit lièvre pour ce soir parce qu’il commence
à faire faim. »
Premier livre, premier épisode, premier plan, première réplique et il est déjà question
de nourriture.
Et évidemment c’est Karadoc, celui qui passera ensuite le plus clair de son temps
à bouffer, qui en parle en premier.
En plus à ce moment là, la bouffe n’est même pas présente sur la table.
Elle n’est donc pas qu’un simple outil au service des acteurs, mais bien une part
intégrante de l’histoire.
Et d’ailleurs avec la bouffe y a un autre élément qui fera partie intégrante de l’histoire,
c’est le repas en famille et il arrive dès le deuxième épisode.
« Y a des gens qui ont pris la peine de faire un dessert, la moindre des choses c’est
de rester pour le manger.
Y en a marre de se comporter comme des sagouins avec tout le monde sous prétexte qu’on
a des responsabilités. »
Et le repas en famille c’est un élément scénaristique extraordinaire pour une histoire
comme Kaamelott.
Déjà parce que c’est quelque chose qu’on a tous vécu, donc on sait de quoi on parle
et ça contribue à rendre les personnages plus réels, plus proches de nous.
Mais aussi parce que le repas en famille, justement parce qu’on en a déjà tous vécu,
on sait très bien que ça peut être une sacrée scène de théâtre.
« Vous on vous a rien demandé espèce de grosse conne ! Oh ! Vous voulez une tarte ?
On parle pas comme ça à sa sœur hein ! Petit PD va ! Et vous c’est pas parce que
vous êtes reine que ça peut pas tomber aussi ! » Et cette scène de théâtre, en plus de servir
inévitablement l’intrigue, elle est transposable à l’infini.
Que ce soit pour rencontrer de nouveaux personnages…
« On va commencer par les mettre dans de bonnes dispositions avec un bon gueuleton. »
… Ou tout simplement pour servir de prétexte afin d’en réunir certains.
« Qu’est-ce que vous foutez là vous ? Ben c’est deux heures du matin, c’est
mon casse dalle de la nuit. »
Et dans une histoire où les scènes courtes s’enchaînent, trouver un prétexte pour
réunir des personnages c’est quelque chose d’essentiel.
La bouffe permet donc de rendre les personnages plus réels, elle sert indirectement et inévitablement
l’intrigue et de ce fait, elle contribue à faire avancer l’histoire.
C’est pour toutes ces raisons qu’elle doit devenir systématique.
« À Tintagel on mange quand on l’a mérité.
Quand on sait qu’on a accompli ses commandements avec humilité et qu’on a glorifié sa famille.
Oui, non, nous on mange quand on a faim. »
À Kaamelott, on mange quand on a faim.
Cette phrase en apparence anecdotique, elle aussi prononcée dans le Livre I, vient souligner
le fait qu’on peut manger tout le temps et partout.
Ainsi, la bouffe peut s’inviter dans absolument toutes les situations.
Dans la salle à manger, dans les cuisines du château, à la taverne, bref sur n’importe
quel coin de table et même au plumard ou en pleine nature.
Parce que Kaamelott, ce n’est pas l’histoire légendaire des héros arthuriens, non, Kaamelott
c’est une déconstruction du mythe et donc des héros qui vont avec.
Et pour déconstruire des héros légendaires, quoi de mieux que de les confronter à des
scènes banales du quotidien.
La bouffe permet donc de venir illustrer ce quotidien pour ancrer les personnages dans
la vraie vie.
« Le gras, c’est la vie ! » En fait dans Kaamelott, il n’y a qu’un seul lieu
où la bouffe est théoriquement interdite et cet interdit, on nous l’explique dès
le troisième épisode.
Vous avez vu comment ça se goupille bien ? Épisode 1, épisode 2, épisode 3…
« C’est carré carré chez vous hein. »
… Ouais ! « Par contre faudra faire gaffe en mangeant hein.
Parce que là je vous ai fait un traitement à l’huile de porc pour imperméabiliser,
mais si y a des taches de jus de viande, c’est foutu hein.
Non mais on va pas manger dessus non plus. »
La bouffe est interdite autour de la Table Ronde.
Enfin, en théorie.
Parce qu’au fil du temps, la bouffe tel un chevalier va finir par trouver sa place
autour de cette table, alors même qu’elle y était pourtant interdite.
Comme si la présence de la bouffe était inévitable.
Et même si c’est à de très rares occasions, dans ces moments là, on peut dire que la
bouffe vient toucher au sacré.
Le moment le plus marquant à mes yeux étant évidemment dans le Livre V, quand Arthur
n’est plus Roi et que tout le monde s’inquiète.
« Vous vous inquiétez pour rien.
Je connais un coin à truites et j’ai tout le matériel.
Bon ! » Alors d’un côté on peut dire que les chevaliers désacralisent la Table
Ronde, ce qui est vrai, mais d’un autre côté on peut aussi dire que dans les moments
de crises, la bouffe devient essentielle, ce qui est pas faux non plus.
De là à dire que la bouffe est essentielle à la quête du Graal, il n’y a qu’un
pas.
Et c’est donc ironique de constater que le seul endroit où l’on ne verra personne
bouffer, c’est au camp de Lancelot.
« Et ben allez-y, recevez-le dans la merde.
Y a pas un siège pour s’asseoir, pas un truc à lui offrir à boire. »
Comme pour venir subtilement souligner une fois de plus qu’il est incapable de mener
la quête du Graal, tout simplement car il est incapable d’appliquer les bases du vivre
ensemble.
Des fois on a simplement besoin de partager un repas pour avancer.
En fait le nerf de la guerre c’est pas les tourelles, c’est la bouffe ! « Mais c’est
pas possible d’entendre des conneries pareilles ! Les tourelles c’est le nerf de la guerre,
là ! »
Bon je viens de me faire engueuler par Léodagan, donc j’en profite pour faire une petite
digression (gression).
Si la bouffe est souvent un prétexte, que ce soit pour aider les acteurs ou pour faire
avancer l’histoire, parfois elle est carrément le sujet principal.
Alors évidemment quand je dis ça vous avez tous des événements bien précis en tête.
Que ce soit la critique des tartes de Dame Séli, la bataille de fromages qui ont pas
fini d’affiner ou encore l’évaluation du pain et du pinard de Bretagne.
« C’est de la merde.
Quoi ? » Sauf que dans tous ces exemples, même si la bouffe est au centre de l’attention,
elle n’en demeure pas moins un simple prétexte.
Les tartes de Dame Séli c’est pour parler de la descendance, la bataille de fromages
c’est l’un des rares moments où Arthur s’autorise à relâcher la pression et quand
on nous parle de pain ou de pinard, on nous parle en fait du peuple.
Non, quand je dis que la bouffe est le sujet principal, moi j’ai quelques épisodes bien
précis en tête et le plus parlant, à mes yeux, c’est Le Monde d’Arthur.
« Arthuuur ! Le graal tu t’en iras quérir ! » Ici la bouffe devient l’outil principal
pour raconter une histoire.
Et l’histoire que nous raconte Arthur, c’est justement l’histoire légendaire du Roi
Arthur.
Pour la première fois Arthur trouve le Graal, pour la première fois tout le monde l’acclame
sans poser de questions et pour la première fois les batailles épiques sont véritablement
épiques.
Et quand un simple accessoire prend une place aussi importante à l’écran que les histoires
d’amours ou les conquêtes de territoires, je pense que c’est important de le spécifier.
« Ouais c’est pas faux ! » Quoi que, ça vient aussi souligner le désir d’Arthur
de correspondre à une légende idéalisée, tout en illustrant le fait que contrairement
à beaucoup d’autres personnages il a su garder son âme d’enfant.
Donc en fait c’est toujours un prétexte et du coup c’est pas du tout une digression
(gression).
« En somme vous êtes une sorte de provocateur quoi. »
J’irai pas jusque là, mais c’est une transition parfaite pour la suite puisqu’il
est temps de vous parler des personnages et de leur rapport à la nourriture.
Ben oui mon format principal c’est L’Analyse de Personnage quand même.
D’ailleurs vous êtes abonnés à cette chaîne ou toujours pas ? Sans déconner
ce serait bien de commencer à participer en 2024.
« Ah mais c’est pas possible ça ! J’ai pas envie de participer ! »
Les personnages ont tous leur manière de manger et même leur propre régime alimentaire.
De Karadoc et ses nombreux casses-dalles, en passant par Bohort plus raisonné, jusqu’au
Maître d’Armes qui ne bouffe que des graines.
« Je bouffe pas de graines. »
Et si ce qu’ils mangent nous en dit long sur ce qu’ils sont, c’est surtout un formidable
indice de leur état d’esprit à un moment donné.
Alors on pense immédiatement à Guenièvre et à son addiction à la pâte d’amande,
mais même le Maître d’armes n’échappe pas à la règle et voit ses beaux principes
partir en fumée quand il est au plus bas.
« On va commencer par se faire une saucisse grillée de trois pieds de long, avec un tonnelet
de pinard chacun et derrière, peut-être bien qu’on se paiera des filles. »
Ah c’est sûr que les graines c’est pas ce qui a de mieux pour remonter le moral.
« Je ne mange pas de graines ! » Et même en prenant un peu de recul, on constate que
les différents peuples présents dans Kaamelott ont tous leur propre modèle alimentaire.
On ne mange pas la même chose à Rome qu’en Bretagne par exemple et ces différences de
cultures peuvent autant être sources de curiosités que de moqueries.
« Mais si, on fait marrer tout le monde là avec nos chenilles à la purée de fraises,
nos couilles d’oursins aux amandes et je sais pas quelles autres saloperies là.
Non c’est vrai que sur la bouffe ça déconne un peu. »
Bref ! Pour raconter un personnage, il existe différentes méthodes.
L’une d’entre-elles, si ce n’est la meilleure selon moi, c’est d’observer
comment il agit dans son environnement.
Et étant donné que la bouffe est omniprésente dans Kaamelott, on peut dire qu’elle fait
partie de l’environnement des personnages et qu’elle contribue donc à définir leur
identité.
Je dirai même que le rapport à la bouffe, qui est l’un des éléments les plus triviaux
de notre personnalité, évolue pour certains en fonction de l’évolution de la situation
et est donc un bon marqueur de là où en est l’intrigue.
Le meilleur exemple à mes yeux étant Arthur lui-même qui en plus de 15 ans est tout de
même passé de ça.
« Euh oui, ben moi c’est à dire, j’ai toujours plus où moins faim hein. »
À ça.
« C’est très gentil Karadoc, merci beaucoup, seulement le truc c’est que je mange pas.
Vous mangez pas ? » Et c’est évidemment encore plus marquant qu’il dise ça face
à Karadoc, le personnage qui passe son temps à bouffer et qui est peut-être le seul à
ne jamais déprimer.
Comme un lien de…
Cause à effet quoi.
« Il est fort le salaud. »
D’ailleurs ce n’est pas non plus anodin si on a d’un côté la série qui commence
avec Karadoc annonçant le repas et de l’autre côté le premier film qui se termine avec
Karadoc se remettant à bouffer.
Comme pour venir nous dire après plus de 10 ans : la déprime c’est terminé, alors
tenez-vous prêt, car l’histoire ne fait que commencer.
« La joie de vivre et le jambon ! Y a pas 36 recettes du bonheur ! Ben, où vous allez ? »
La bouffe est donc présente dans Kaamelott depuis le départ, elle a toujours été là
et elle sera toujours là.
Pour les prochains films c’est même la seule chose sur laquelle il y a zéro débat.
Après tout, l’un des messages de Kaamelott c’est bien que pour mener la quête du Graal,
il faut avancer ensemble et pour avancer ensemble, partager un repas c’est déjà un bon début.
« Ça compte énormément et je plaisante à moitié.
C’est à dire que je ne bosse pas avec des gens avec qui je ne voudrai pas déjeuner.
C’est ma règle. »
Au passage je vous recommande chaudement cette Masterclass d’Alexandre Astier disponible
sur la chaîne du Festival International du Film de Geneve.
Et comme j’ai moi aussi réalisé quelques interviews, j’en profite pour vous glisser
ce petit extrait que je trouve parfaitement adapté au propos.
« Nous on va tourner on amène une petite guinguette, on amène une petite buvette.
On achètera des saucissons chez les marchands de saucissons locaux, juste pour partager
parce qu’il va falloir apprendre à partager. »
Voilà ça c’est cadeau et hésitez pas à aller jeter un œil aux autres interviews
si le coeur vous en dit.
La bouffe fait donc bien partie intégrante de Kaamelott.
Elle est un outil pour les acteurs, elle est un outil pour la narration et elle raconte
quelque chose à chaque fois qu’elle apparaît à l’écran ou qu’il en est question.
Que ce soit pour la bouffe en elle-même ou pour le moment partagé autour d’un bon
gueuleton, car même si ça part souvent en couilles, elle est un véritable lien social
entre les personnages.
Au même titre qu’Excalibur ou que la Table Ronde, la bouffe fait donc avancer la quête
du Graal.
Des sandwichs de Karadoc, aux frichtis tous fruits du Duc d’Aquitaine, en passant par
les citrons de Verinus.
Attend je vais vraiment terminer ma vidéo sur les citrons de Verinus là ? « C’est
plus de la gastronomie, c’est de l’érotisme ! »
Et bien j’espère que cette première vidéo de l’année vous a plu.
J’en profite pour vous souhaiter une excellente année 2024.
La santé, la famille, les amis, les projets, tout ça ! En bref essayez de penser aux
autres, mais essayez aussi de penser à vous.
« C’est très important pour la santé du cigare. »
Merci à MyHeritage d’avoir sponsorisé cette vidéo et si vous aussi vous voulez
en savoir plus sur vos ancêtres, il vous suffit de cliquer sur le lien en description
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De mon côté, vous le savez, l’année dernière a été très intense au niveau personnel.
Donc même si je suis très content de ce que je vous ai proposé en 2023, j’ai pas
pu sortir toutes les vidéos que j’avais prévu.
Celle-ci aurait dû sortir juste avant Noël par exemple, mais c’est pas grave, au moins
j’ai quelques vidéos dans les cartons.
Du Kaamelott évidemment, le retour des vidéos Harry Potter très bientôt et même quelques
autres univers que j’ai hâte d’aller explorer avec vous.
« Et toc ! Remonte ton slibard Lothar ! Quoi ? C’est une expression. »
Bref, comme d’habitude je vous invite à faire tout ce qu’on peut faire pour accompagner
la sortie d’une vidéo : le commentaire, le like, le partage et surtout pensez à vous
abonner si ce n’est pas déjà fait.
Sur ce, prenez soin de vous et à très bientôt.
« C’est bon, vous pouvez débarrasser. »
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