Midjourney et copyright : le cas Kristina Kashtanova
Summary
TLDRLa vidéo aborde un cas concret de droits d'auteur lié à l'utilisation de l'IA pour créer une bande dessinée. L'auteure Christina Castanova a publié une œuvre aux États-Unis, initialement reconnue comme étant sous son copyright, mais dont les droits ont été retirés une fois révélé le recours à l'IA. Le Bureau des droits d'auteur américain a clarifié que seuls les textes étaient protégés, les images générées par l'IA ne l'étant pas. Le débat sur la créativité et le rôle de l'IA dans le processus créatif est au cœur de cette discussion juridique et technique.
Takeaways
- 📜 L'histoire de Christina Castanova, auteure de bandes dessinées, qui a publié une œuvre aux États-Unis réclamant les droits d'auteur, mais dont les images ont été générées par l'intelligence artificielle Midjourney.
- 🔄 L'Organisme des droits d'auteur des États-Unis a initialement validé l'attribution des droits d'auteur à Christina, mais a ensuite retiré la protection pour les images générées par Midjourney, ne considérant pas ces images comme des œuvres humaines protégées par le droit d'auteur.
- 🤖 La distinction clé réside dans le fait que Midjourney est considéré comme un outil de création plutôt qu'un simple outil d'assistance, comparé à Photoshop qui est considéré comme un outil d'aide à la création.
- 🎨 L'avocat de Christina argumente que Midjourney a été utilisé comme un outil d'assistance, et que Christina est l'auteur de l'œuvre, sachant que d'autres outils similaires existent dans des logiciels comme Photoshop.
- 📚 La réqualification de l'œuvre de Christina comme 'œuvre littéraire non publiée' est mentionnée, excluant explicitement les œuvres d'art générées par l'intelligence artificielle.
- 🖼️ Les images générées par l'IA Midjourney ne sont pas considérées comme des œuvres originales de l'auteur, car l'étincelle créative fait défaut ou est si insignifiante qu'elle est pratiquement inexistante.
- 📸 Les photographies sont protégées par les droits d'auteur car elles représentent des conceptions intellectuelles originales de l'auteur, contrairement aux œuvres générées par l'IA qui ne sont pas considérées comme telles.
- 🔗 Le script aborde la complexité du droit d'auteur dans le contexte de la création assistée par l'IA, soulignant les subtilités et les défis juridiques auxquels sont confrontés les créateurs utilisant des outils d'IA.
- 🌐 Le cas de Christina Castanova suscite un débat sur les droits d'auteur et la création avec l'IA, et pourrait influencer la manière dont les œuvres futures sont protégées et attribuées.
- 💡 Le script encourage les créateurs à explorer les outils d'IA comme Midjourney, tout en mettant en évidence l'importance de comprendre les implications juridiques de l'utilisation de ces outils.
- 🔍 Le script invite les spectateurs à se pencher sur des exemples concrets de bandes dessinées générées par l'IA, montrant la diversité des styles et des histoires qui peuvent être créés avec ces outils.
Q & A
Quelle est la problématique centrale abordée dans cette vidéo ?
-La problématique centrale est la question des droits d'auteur liés aux créations réalisées avec l'aide de l'intelligence artificielle, en l'occurrence, les bandes dessinées créées avec l'outil MidJourney.
Qui est Christina Castanova et quel est son rôle dans cette affaire ?
-Christina Castanova est une auteure de bandes dessinées qui a publié une œuvre aux États-Unis, revendiquant les droits d'auteur. Elle est au centre du débat car sa bande dessinée a été créée en utilisant l'intelligence artificielle MidJourney, ce qui a entraîné une révision de ses droits d'auteur par l'organisme américain chargé du copyright.
Qu'est-ce que MidJourney et comment fonctionne-t-il ?
-MidJourney est un outil d'intelligence artificielle utilisé pour générer des images à partir de descriptions textuelles (promptes). Il convertit les mots et les phrases en 'tokens' qui sont comparés aux données d'entraînement et utilisés pour créer des images. Il est considéré comme un outil de création plutôt que d'assistance, et son utilisation soulève des questions sur l'attribution des droits d'auteur.
Quelles sont les conclusions du Bureau des droits d'auteur des États-Unis concernant l'œuvre de Christina Castanova ?
-Le Bureau des droits d'auteur a conclu que les droits d'auteur ne s'appliquent pas aux images générées par MidJourney, car elles ne sont pas le produit d'un créateur humain. Cependant, ils ont reconnu les droits d'auteur de Christina sur le texte et l'agencement de la bande dessinée.
Quelle est la position de l'avocat de Christina Castanova sur le sujet des droits d'auteur ?
-L'avocat de Christina Castanova soutient que MidJourney est un outil d'assistance et que Christina est l'auteur de tous les aspects de l'œuvre, MidJourney servant simplement d'outil. Il argue que la distinction doit être faite entre un outil d'assistance et un créateur, et que dans ce cas, Christina devrait être considérée comme le créateur.
Quelle est la décision finale du Bureau des droits d'auteur concernant l'œuvre de Christina Castanova ?
-Le Bureau des droits d'auteur a décidé de requalifier l'œuvre en tant qu'œuvre littéraire non publiée, excluant explicitement les œuvres d'art générées par l'intelligence artificielle. Christina Castanova ne pourra pas détenir les droits d'auteur sur les images générées par MidJourney.
Quels exemples d'œuvres créées avec MidJourney sont mentionnés dans la vidéo ?
-La vidéo mentionne plusieurs œuvres créées avec MidJourney, notamment 'Zaria of the Dawn', 'Lange Flower' de Bryan Martinez et 'Summer Island' de Steve Colson. Ces œuvres sont disponibles pour téléchargement sur le site ai comic books.com.
Quelle est la différence entre un outil d'assistance à la création et un créateur selon la vidéo ?
-Selon la vidéo, un outil d'assistance à la création, comme Photoshop, est utilisé pour aider l'artiste à produire une œuvre, mais le contrôle créatif repose sur l'artiste. Un créateur, en revanche, est celui qui exerce le contrôle créatif et qui est à l'origine de la formation de l'œuvre. Dans le cas de MidJourney, la question est de savoir si l'IA est considérée comme un outil ou un créateur, ce qui influence l'attribution des droits d'auteur.
Quelle est la position de la Cour suprême américaine sur les œuvres photographiques ?
-La Cour suprême américaine a décidé que les photographies sont protégées par les droits d'auteur car elles représentent des conceptions intellectuelles originales de l'auteur. Elles ne sont pas simplement des reproductions de caractéristiques d'un objet ou d'une personne réalisées par une machine.
Quels conseils sont donnés aux utilisateurs de MidJourney qui cherchent à protéger leurs droits d'auteur ?
-Les utilisateurs de MidJourney sont encouragés à utiliser l'outil comme un support d'inspiration plutôt qu'en tant que créateur unique. Il est suggéré que si une œuvre est générée avec l'aide de MidJourney et ensuite significativement modifiée ou retouchée par l'utilisateur, cela pourrait permettre à l'utilisateur de détenir les droits d'auteur sur l'œuvre finale.
Comment la vidéo aborde-t-elle les implications juridiques des créations avec l'intelligence artificielle ?
-La vidéo explore les implications juridiques en se concentrant sur le cas concret de Christina Castanova et en discutant les arguments des différentes parties impliquées. Elle met en évidence les défis et les ambiguïtés actuels dans la législation sur les droits d'auteur lorsqu'il s'agit de déterminer l'attribution des droits pour les œuvres créées avec l'aide de l'IA.
Quelle est la ressource supplémentaire mentionnée dans la vidéo pour les utilisateurs de MidJourney ?
-La ressource supplémentaire mentionnée est un article intitulé '10 astuces pour optimiser votre travail sur MidJourney', ainsi que des centaines de styles d'artistes et époques acceptés par MidJourney, qui sont disponibles pour téléchargement gratuitement dans la description de la vidéo.
Outlines
📚 Droits d'auteur et création assistée par l'IA
Le paragraphe aborde la question des droits d'auteur dans le contexte de la création assistée par l'intelligence artificielle (IA). Il est question d'un cas concret où l'auteur et illustrateur de bandes dessinées, Christina Castanova, a publié une œuvre aux États-Unis, revendiquant les droits d'auteur. Cependant, il est révélé que la bande dessinée a été créée en utilisant le logiciel Midjourney, ce qui a entraîné la rétrocession de certains de ces droits. Le sujet est complexe et soulève des questions sur la nature de la création artistique et la responsabilité de l'IA dans le processus créatif.
🎨 Analyse de la bande dessinée 'Zarya of the Dome'
Dans ce paragraphe, l'analyse de la bande dessinée 'Zarya of the Dome' est présentée. Il est question de la qualité artistique de l'œuvre, des défis rencontrés lors de sa création et de la contribution de l'IA à la réalisation de l'œuvre. Le narrateur exprime ses impressions sur les illustrations et le style de la bande dessinée, tout en soulignant les aspects positifs et négatifs de l'œuvre. Les défis de la création artistique dans un environnement post-apocalyptique sont également discutés.
🖼️ Les limites du droit d'auteur pour les images générées par l'IA
Le paragraphe se concentre sur les limites du droit d'auteur pour les images générées par l'IA, en utilisant le cas de Midjourney comme exemple. Il est expliqué que les images générées par l'IA ne sont pas considérées comme des œuvres de l'esprit humain et ne bénéficient donc pas du droit d'auteur. Le paragraphe aborde également les arguments juridiques soulevés par le bureau des droits d'auteur et l'avocat de Christina, ainsi que la distinction entre les outils d'assistance à la création et les outils de création proprement dits.
📖 Réflexion sur l'originalité et la création artistique
Ce paragraphe s'intéresse à la notion d'originalité dans le contexte de la création artistique assistée par l'IA. Il est question des critères d'originalité exigés par la loi et de la façon dont l'IA peut ou ne peut pas répondre à ces critères. Le paragraphe discute également de la manière dont l'IA peut influencer la création artistique et des implications de cette influence sur les droits d'auteur. Des exemples de bandes dessinées créées avec l'aide de l'IA sont utilisés pour illustrer les points discutés.
🌟 Conclusion et perspectives sur les droits d'auteur de l'IA
Le paragraphe conclut la discussion sur les droits d'auteur et la création assistée par l'IA. Il est question de la décision finale du bureau des droits d'auteur concernant la bande dessinée en question et de la réqualification de l'œuvre. Le paragraphe souligne également l'importance de cette décision pour l'avenir de la création assistée par l'IA et des droits d'auteur. Les réflexions se terminent sur les implications juridiques et créatives de l'utilisation de l'IA dans le domaine de l'art et de la littérature.
Mindmap
Keywords
💡droits d'auteur
💡intelligence artificielle (IA)
💡Bande dessinée
💡mi-journée
💡création assistée par IA
💡Loi sur les droits d'auteur
💡originalité
💡créativité
💡copyright
💡cas concret
💡outil d'assistance à la création
Highlights
Discussion sur les droits d'auteur et la création assistée par les outils de l'intelligence artificielle, en particulier mi-journée.
L'histoire de Christina Castanova, auteure de bandes dessinées, qui a publié une œuvre aux États-Unis réclamant les droits d'auteur.
L'Organisation des droits d'auteur des États-Unis a initialement validé les droits d'auteur attribués à Christina, mais a ensuite retiré la protection pour les images générées par mi-journée.
Le débat sur la nature de mi-journée : est-ce un outil d'assistance à la création ou un créateur en lui-même?
Examen de la réponse du Bureau des droits d'auteur des États-Unis datant du 21 février 2023, concernant la protection des droits d'auteur pour les œuvres créées avec l'aide de l'IA.
L'analyse de la Loi U9 et la définition de l'originalité et de la créativité nécessaires pour que l'œuvre soit protégée par le droit d'auteur.
La distinction entre les œuvres photographiques protégées par le droit d'auteur et les images générées par mi-journée, qui ne le sont pas.
L'argument de l'avocat de Christina selon lequel mi-journée est un outil d'assistance et que Christina est l'auteur de l'œuvre, même si elle a utilisé mi-journée pour créer l'image.
La comparaison entre les outils d'assistance à la création comme Photoshop et les producteurs d'œuvres comme mi-journée, et l'impact sur la protection du droit d'auteur.
L'explication du processus de création avec mi-journée et la manière dont les utilisateurs n'ont pas un contrôle comparable sur les images générées.
Le rejet de l'argument selon lequel les utilisateurs de mi-journée agissent comme les auteurs au sens du droit d'auteur.
L'exemple hypothétique où si Christina avait utilisé des outils similaires inclus dans Photoshop, son œuvre aurait été protégée par le droit d'auteur.
La conclusion du Bureau des droits d'auteur des États-Unis concernant la requalification de l'œuvre de Christina comme une œuvre littéraire non publiée, excluant les œuvres d'art générées par l'IA.
La discussion sur les implications de l'utilisation de mi-journée pour la création de bandes dessinées et la protection du droit d'auteur.
Présentation d'autres bandes dessinées créées avec l'aide de l'IA, y compris les œuvres de Bryan Martinez et Steve Colson.
Analyse de la bande dessinée 'Summer Island' de Steve Colson, qui explore le style de la photographie reportage et la transformation en une bande dessinée.
La réflexion sur les possibilités créatives offertes par l'IA et les outils de génération d'images, et leur impact sur l'industrie de la bande dessinée.
Transcripts
et c'est là en fait le point un peu de
bascule c'est là que tout va se jouer
c'est ce que mis de journée est un outil
d'assistance à la création ou est-ce que
c'est le créateur et c'est un peu ça
tout le nœud du problème
alors ici on parlait des droits d'auteur
aujourd'hui ça va être une vidéo un
petit peu différente de celle que je
fais d'habitude sur cette chaîne parce
que là on va réagir à un sujet
d'actualité qui concerne justement cette
question des droits d'auteur alors je
pense que je ferai une autre vidéo
dédiée à l'histoire des droits d'auteur
en France cette fois-ci mais là je suis
tombé sur cette histoire un petit peu
par hasard et je me suis dit que ça
pourrait vraiment vous intéresser parce
qu'on va prendre vraiment un cas concret
alors je vous fais le pitch rapidement
en fait il y a une autrice de bandes
dessinées qui s'appelle Christina
castanova qui avait publié aux
Etats-Unis une bande dessinée dont elle
revendiquait les droits d'auteur donc
initialement l'organisme qui gère les
copyrights aux États-Unis avait validé
tout ça avait attribué les droits
d'auteur à Christina mais dans un second
temps en fait cet organisme s'est rendu
compte que la bande dessinée avait été
créée grâce à mille journée en tout cas
les les visuels évidemment et du coup
une partie des droits d'auteur qui avait
été initialement attribué à Christina
lui ont été retiré donc c'est cette
histoire qu'on va voir en profondeur et
vous allez voir que c'est super
intéressant parce que là c'est un cas
concret et il y a plein de subtilités
franchement au début je pensais pas en
faire une vidéo puis en fait je me suis
un peu passionné pour le truc entre
guillemets donc on va voir l'histoire en
détail sur mon écran c'est parti
le bureau en fait des copyright et c'est
ça qu'on va regarder ensemble c'est pour
ça que cette vidéo va changer un petit
peu de d'habitude ça sera un petit peu
plus d'actualité puis ça va aborder un
sujet sur les droits d'auteur qui est
assez compliqué alors là ça va concerner
le droit aux États-Unis mais je pense
qu'en France on doit pas être loin de ça
non plus mais je ferai une autre vidéo
sur le sujet pour les droits d'auteur en
France et mi-journée les gens va
commencer par ça et donc je vais vous
montrer ces fameuses échanges de lettres
alors je vous mettrai le lien de la
version anglaise ils ont la version
originale en description et moi j'ai
fait traduire le PDF forcément que déjà
que c'est un peu technique alors si en
plus je me le tape en anglais je vous
dis pas le bordel alors là voilà en fait
on a la réponse en date du 21 février
2023 vous voyez que c'est assez récent
du bureau des droits d'auteur des
États-Unis alors je vous montre juste
exactement l'intitulé exact United
States Copyright Office voilà donc c'est
un peu l'organisme dont le but est
d'enregistrer les copyright aux
États-Unis on va dire que c'est un petit
peu l'équivalent de l'INPI en France si
on veut dire ça comme ça et alors
qu'est-ce qui me disent alors on va
regarder évidemment je vais pas tout
vous lire sur l'Union jaune vous voyez
les trucs les plus importants
honnêtement au début je pensais pas
faire une vidéo là-dessus puis je me
suis penché dessus puis ça m'a vraiment
intéressé alors j'espère que vous aussi
vous apprécierez alors je vous lis
certains trucs donc là en fait ce
paragraphe introductif ça explique que
voilà le bureau des copyright aux
États-Unis avait initialement accepté la
demande d'enregistrement des droits
d'auteur de l'oeuvre de Christina il y
avait pas eu de souci etc mais en fait
ils se sont rendus compte après que les
images avaient été créées sur mi-journée
donc en fait ce qui s'est passé c'est
que le bureau on va l'appeler le bureau
d'accord le bureau des copyright on
appelle le bureau a reconnu que
Christina était l'auteur du texte alors
je vais vous montrer la bande dessinée
normalement qu'on aurait peut-être pu
commencer par par la bande dessinée
directement ouais je crois qu'on va
faire ça je finis juste le paragraphe
introductif en gros le bureau dit ok
christina est bien l'auteur des textes
et elle est également auteur de de
l'agencement on va dire de la bande
dessinée voilà c'est ça la coordination
et l'agencement des éléments écrits
visuels en revanche les images donc les
10 voilà cette paternité est protégée
par le droit d'auteur en revanche les
images de l'oeuvre ont été générés par
la techn journée ne sont pas le produit
d'un auteur humain et donc ne sont pas
protégés par les droits d'auteurs donc
où est-ce qu'on va faire je pense c'est
qu'on va d'abord regarder la bande
dessinée rapidement alors la bande
dessinée vous pouvez la retrouver vous
pouvez la télécharger gratuitement sur
un site qui s'appelle ai comique
books.com je vous mettrai le lien en
description et là en fait vous avez
plein de bandes dessinées que vous
pouvez télécharger gratuitement qui ont
toutes été généré grâce à l'intelligence
artificielle pas forcément mis de
journée mais ça peut être d'autres comme
Dali etc et donc là vous avez zary of
the dome donc le la fameuse bande
dessinée qu'on est en train d'étudier et
qui fait polémique entre guillemets mais
vous en avez d'autres peut-être que je
vous en montrerai parce que j'en ai
téléchargé quelques-unes ça allait
vraiment terrifiante elle est horrible
enfin elle est horrible dans le sens
enfin je vous montrerai je vous dise un
petit peu et celle-là est vraiment très
bien summer Island de la regardera aussi
ensemble voilà donc je vous mettrai le
lien dans la description si vous voulez
télécharger certaines bandes dessinées
pour vous inspirer pourquoi pas et donc
voyons ensemble cette bande dessinée
très courte rassurez-vous il y a 18
pages il me semble alors ce qui est
marrant c'est qu'il y avait marqué
mi-journée sur la couverture mais vous
verrez que c'est précisé enfin le bureau
en gros oui il y avait marqué une
journée mais ça voulait pas dire pour
autant que la BD avait été faite sur une
journée bon on peut le comprendre c'est
pas faux mais ils sont un peu con quand
même bref donc en gros voilà c'est
l'histoire d'une jeune fille qui se
réveille au milieu de Central Park et
qui sait plus qui est à l'est un peu un
monde poste apocalyptique et il y a une
carte postale qui tombe de sa poche elle
se demande pourquoi elle se souvient pas
de son nom et cetera bref on a quand
même un personnage récurrent alors moi
le style je suis pas hyper fan mais je
reconnais qu'il y a un gros travail
évidemment pour avoir déjà essayé je
sais que c'est vraiment très compliqué
comme comme taf donc je vous passe le
truc et il y a vraiment des belles
images mais encore une fois c'est vrai
qu'il y a pas beaucoup de mais il y a
presque pas de personnages puisque c'est
un truc post-apocalyptique ce qui fait
que la difficulté est moins on va dire
il y a pas d'interaction entre deux
personnages récurrents enfin quelque
chose qui est très difficile à faire ça
par exemple faire des images comme ça je
dis pas que c'est facile mais bon ça va
quoi c'est la portée de tout le monde
après le personnage il est ressemblant
en tout cas le héros et ressemblant
d'une image sur l'autre quelque chose
qu'on sait faire qu'on peut faire je
vous l'ai appris sur la chaîne c'est
c'est pas moche après le style il est il
est particulier bon là j'avoue ça fait
un peu incrustation la bulle c'est pas
c'est pas dingue mais bon moi je vais
pas trop critiquer forcément parce que
déjà ça a pas été fait ça a été fait il
y a plusieurs mois déjà ça se trouve
c'était même pas avec la version 4
demi-journée donc déjà c'est je trouve
que c'est un bel exploit franchement
d'avoir fait ça même si évidemment si je
pense sur les détails bah après les les
tenues vont changer un peu les les
coupes de cheveux enfin voilà évidemment
bon c'est du mid-journée qu'on connaît
le truc c'est quasiment impossible
d'avoir un truc fidèle là vous voyez bon
après ça devient un truc un peu de
science-fiction là les cheveux mi-cour
là les cheveux plutôt longs voilà bon on
connaît là elle passe d'une tenue à une
autre d'ailleurs c'est pas ouf là la
tenue d'astronaute je suis pas fan bref
après elle part sur une autre planète
l'image ici elle est vraiment magnifique
et donc tout ça ce sont des images
évidemment qui sont créées sur
mi-journée il y a pas beaucoup de textes
hein je peux vous dire que quand vous
l'aurez télécharger en 5 minutes c'est
terminé ou alors on rencontre quelqu'un
sur une autre planète elle a une leçon
de vie etc puis après elle va retourner
sur Terre parce qu'elle a appris
l'acceptation c'est beau voilà
l'acceptation est le premier pas du
lâcher prise enfin quelque chose comme
ça bon voilà c'est pas incroyable mais
je salue évidemment Christina qui a fait
un un beau boulot parce que sur une
journée c'est quand même pas facile donc
bravo à elle franchement et donc
retournons à nos moutons cette lettre du
bureau du copyright là et voilà donc je
finis en disant que ils ont reconnu en
gros la paternité du texte de
l'agencement etc mais pas des images
donc l'oeuvre va être requalifiée sans
le verra après alors on continue voilà
donc là ils expliquent que en gros
Christina déposé l'oeuvre en disant que
c'était un comic book et qu'elle avait
renoncé à aucune partie de l'oeuvre donc
j'imagine qu'elle a signalé lorsqu'elle
a déposé son œuvre que tout lui
appartenait qu'elle détenait tous les
droits d'auteur de l'oeuvre ça on a ça
aussi en français quand vous publiez un
livre sur Amazon 4dp par exemple vous
devez cocher une case indiquant que vous
possédez bien tous les droits de
l'oeuvre que vous publiez et donc c'est
seulement après une fois que le bureau
avait validé dans un premier temps qui
se sont rendus compte en fait sur les
réseaux sociaux que ben en fait l'oeuvre
elle avait été créée sur mi-journée donc
voilà ils disent que finalement on va a
été incorrecte ou substantiellement
incomplète et donc ils vont requalifier
l'oeuvre on va voir ça monsieur Lindberg
donc ça c'est l'avocat de Christina qui
dit que ça devrait pas être annulé parce
que Christina est bien l'auteur de tous
les aspects de l'oeuvre mis de journée
servant simplement d'outils d'assistance
et c'est là en fait le point un peu de
bascule c'est là que tout va se jouer
c'est ce que mis de journée est un outil
d'assistance à la création ou est-ce que
c'est le créateur et c'est un peu ça
tout le nœud du problème et a priori
d'un point de vue juridique on est
plutôt sur le deuxième cas c'est à dire
que mi-journée est un outil de création
et non un outil d'assistance comme
Photoshop et on va le voir en détail un
peu après là il nous faut un rappel sur
la loi générale donc en gros en vertu de
la Loi U9 peut être enregistrée si elle
est considérée comme une oeuvre
originale d'auteur fixée sur tous les
supports d'expressions tangibles on s'en
fout la Cour suprême a expliqué que le
terme original dans ce contexte comprend
deux éléments une création indépendante
et une créativité suffisante la notion
de créativité revient souvent on la voit
ici suffisamment de créativité il a
conclu donc le bureau qui ne peut y
avoir de droit d'auteur sur une œuvre
dans laquelle l'étincelle créatif fait
totalement par défaut ou est si
insignifiante qu'elle est pratiquement
inexistante après ça nous explique que
en revanche les photographes enfin voilà
c'était différent les photographies sont
protégées par les droits d'auteurs parce
qu'elles étaient représentatives des
conception intellectuelles originales de
l'auteur ce faisant la Cour rejette
l'argument selon lequel une photographie
n'est qu'une reproduction sur papier des
caractéristiques exactes d'un objet
naturel ou d'une personne réalisée par
une machine bref ça c'est un petit peu
chiant mais c'est pour nous dire qu'en
gros que quand tes photographes là quand
tu fais une photographie ça passe des
propriétaires des droits d'auteur même
si c'est une machine un Nikon un canon
peu importe qui a fait la photo donc il
se sentent obligés de réexpliquer un
petit peu pour qu'on fasse bien la
distinction entre une photo et une œuvre
créée sur mi-journée par exemple donc là
on revient sur le texte donc ça on l'a
déjà vu ensemble le bureau convient que
le texte de l'oeuvre est protégé par la
droite d'auteur de plus le bureau estime
que le texte de l’œuvre contient plus
que le minimum de créativité voilà tout
ça c'est un petit peu subjectif
j'imagine et pareil pour la disposition
des images ça aussi on l'a vu tout à
l'heure le bureau qu'on vient également
que la sélection est la disposition des
images et du texte dans l'oeuvre sont
protégeables en tant la compilation ok
donc ça sur ces deux points c'est bon
par contre pour les images c'est mort
alors ensuite bon je vous passe un peu
tous les détails parce qu'ils font un
recap un peu de ce qu'est mi-journée
comment ça marche sur discord qu'est-ce
qu'un prompt il m'a dit machin truc
voilà 1000 journées ça part d'une image
brute à 100 % puis après ça crée une
image donc ça je vous l'avais expliqué
dans une vidéo je vous le je vous la
remettrai en fiche ou alors sinon je
vous mettrai en fiche la vidéo de de
science étonnante qui parle très très
bien du fonctionnement en fait
demi-journée comment il fait pour créer
ces images et là voilà c'est là que ça
devient intéressant parce qu'il est dit
en fait il est pertinent ici que selon
sa propre description mi-journée
d'interprète pas les promptes comme des
instructions spécifiques pour créer un
résultat expressif particulier parce que
mi-journée ne comprend pas la grammaire
la structure des phrases des mots comme
les humains il convertit à la place les
mots et les phrases en morceaux plus
petits appelés token qui peuvent être
comparés à ces données d'entraînement
puis utiliser pour générer une image
donc ça je trouvais ça intéressant et
également et voilà du coup il est dit le
processus par lequel en utilisateur de
1000 journées obtient une image finale
satisfaisante grâce à l'outil n'est pas
le même que celui d'un artiste un
écrivain ou un photographe humain et là
[Musique]
les utilisateurs de mi-journée ne sont
pas les auteurs au sein de droits
d'auteur etc etc comme l'a expliqué la
Cour suprême l'auteur d'une oeuvre
protégée par le droit d'auteur et celui
qui a réellement formé l'image celui qui
agit comme l'inventeur ou le Mastermind
en raison de la distance importante
entre scan utilisateur peur donner un
mi-journée de créer et le matériel
visuel que mi-journée produirait
réellement les utilisateurs de
mi-journée n'ont pas suffisamment de
contrôle sur les images générées pour
être traitées comme le Mastermind
toujours derrière enfin pour les vrais
auteurs quoi donc là franchement je
pense que ça fait au moins quatre fois
qu'il répète la même chose formuler
différemment mais bon je le répète parce
que je pense que c'est peut-être un peu
nouveau pour tout le monde donc c'est
important que ça rentre un peu dans les
têtes et là aussi ça devient intéressant
parce qu'ils disent que le fait que la
production spécifique de 1000 journées
ne puisse pas être prédite par les
utilisateurs en Randy de journée
différents au sein du droit d'auteur des
autres outils utilisés par les artistes
comme par exemple la photoshop par
exemple c'est ce qu'ils écrivent là en
fait c'est différent et la vraie
différence c'est ça c'est que mi-journée
est considéré comme un producteur alors
que photoshop par exemple est considéré
comme un outil d'aide c'est plus un
support qu'autre chose voilà voilà c'est
toujours la même chose les utilisateurs
d'une journée n'ont pas de contrôle
comparable sur l'image ok ça fait 8 vous
le dites merci beaucoup il est donc
compréhensible que les utilisateurs
comme Christina puisse prendre plus d'un
an à la conception de la création ok car
ils peuvent avoir besoin de générer des
centaines d'images intermédiaires oui
bah après j'imagine que quelqu'un qui
travaille un graphie je veux dire
j'imagine qu'il doit gommer 150 fois
aussi ce qu'il a fait donc au monde
c'est un peu con mais bon voilà donc il
répète un peu toujours la même chose les
pros fonctionnent plus comme des
suggestions que des commandes ou non ça
se discute mais ok ah oui ça c'est
intéressant aussi ce qu'ils disent et
bon on peut peut-être pas leur donner
dedans là-dessus ils disent que voilà si
Christina avait chargé un graphiste de
produire une image donc contenant enfin
en gros le le contenu des promptes quoi
bah Cristina ne serait pas l'auteur de
cette image donc en fait là ils sont en
train de comparer un graphiste à
mi-journée c'est plutôt intéressant je
trouve qu'il pousse un peu sur sur
cette mais en gros ils disent que voilà
si Christina avait saisi une requête sur
Google Images par exemple et que les
images renvoyaient étaient très proches
de ce qu'elle avait écrit bah elle ne
pourrait pas se revendiquer comme étant
la propriétaire des images renvoyées par
Google Images bon pourquoi pas mais je
trouve ça un petit peu tiré par les
cheveux mais admettons
anglais c'est suffisante à monde
original authership donc authership
serait plutôt la paternité donc ce que
j'en conclus c'est quand même que si
jamais on crée une image sur mille
journée et qu'après on la retape
vraiment beaucoup sur un logiciel comme
Photoshop par exemple on pourrait
détenir les droits d'auteur mais là
encore il doit y avoir une question
d'équilibre mais là effectivement je
comprends que pour le cas présent
franchement le changement sur Photoshop
il est vraiment minime donc je peux
comprendre là la décision pour le coup
avec cet exemple concret voilà bon après
pour la conclusion en gros ils disent
que voilà si dès le départ le bureau
avait su que la BD avait été créée enfin
les visuels en tout cas avaient été créé
sur mes journées ils auraient restreint
la demande en excluant les éléments
générés par la technologie de l'IA et
donc il va y avoir un une
requalification en tant que œuvre
littéraire non publiée le nouvel
enregistrement exclure à explicitement
les œuvres d'art générées par
l'intelligence artificielle voilà il va
avoir un nouveau certificat bref ça on
s'en fout un petit peu et ensuite
comment ça c'est le récap parce qu'après
il y a les autres courriers elle court
il y a de l'avocat aussi donc je vais
pas tout vous lire parce que déjà ça
fait un petit moment qu'on en parle mais
juste deux trois trucs voilà le momie de
journée apparaît sur la page de
couverture d'une oeuvre ne constitue pas
un avis au bureau qu'un outil Dia a créé
la partie ou la totalité de l'oeuvre
donc là c'est ce que je vous ai dit tout
à l'heure c'est pas parce qu'il y a
marqué sur la couverture ici mi-journée
que c'est une indication suffisante qui
signifie que voilà toutes les créations
ont été faites sur une journée je peux
comprendre ça aurait pu être un pseudo
par exemple hop hop est juste je vais
vous montrer parce qu'après la lettre de
l'avocat aussi de Christina il y a juste
un truc quand même que je voudrais voir
avec vous qui était intéressant hop
c'est ici l'avocat rebondit sur
l'histoire des éditions sur Photoshop et
il dit voilà Christina a utilisé le
service miles journées Photoshop et
comic live3 pour créer cette image et la
placer dans l'oeuvre mais elle aurait pu
créer exactement la même image en
utilisant des outils similaires déjà
inclus dans Photoshop il existe un
plugin appelé stabilité qui intègre la
fonctionnalité de génération d'image
alimentée par l'IA directement dans
Photoshop des outils similaires de
génération de contenu alimenté par l'IA
sont disponibles en Photoshop depuis des
années les fonctions de recadrage et de
placement aurait pu être entièrement
exécutés dans Photoshop mais Christina
comme de nombreux autres artistes
aujourd'hui expérimenter les nouveaux
outils génératifs pour explorer leur
capacité le choix de Christina
d'utiliser un outil plutôt qu'un autre
devrait avoir aucune incidence sur la
protection par le droit d'auteur de sa
production créative si cette image
aurait été protégée par le droit
d'auteur si elle n'avait utilisé que
Photoshop elle devrait également l'être
en utilisant des outils tels que le
service de mi-journée en gros là ce
qu'il explique c'est que il y a des
outils de génération d'image sur
Photoshop depuis des années et ça n'a
jamais posé de problème et donc si
Christina avait fait sa bande dessinée
via ses outils d'intelligence
artificielle proposé par Photoshop ça
n'aurait posé aucun souci ça aurait été
protégé par les droits d'auteur or là
comme elle est utilisée mi-journée
quelque chose d'un petit peu nouveau et
bah là ça passe pas donc ça intéressant
comme ouverture et ça c'est une lettre
qui a été envoyée avant la réponse que
je vous ai lu donc a priori n'en avait
absolument rien à mais je tenais
quand même à le préciser voilà donc on a
fait le tour pour cette longue lettre
alors j'espère que ça vous aura
intéressé ça change un peu de
l'ordinaire évidemment j'espère que vous
aurez pas décroché avant de conclure
quand même je voudrais changer un tout
petit peu de sujet juste pour revenir
sur ce site ai comic books j'en ai
téléchargé quelques-unes de ces bandes
dessinées franchement il y en a qui sont
vraiment pas mal je voudrais juste vous
en montrer une ou deux alors on a déjà
vu Zaria of the dawn il y en a une qui
est archi chelou alors je vais vous la
montrer vraiment vite fait celle de
Bryan Martinez là qui s'appelle langue
flower alors lui cet auteur visiblement
il faisait déjà des trucs dans la dans
l'horreur la science-fiction etc mais
alors là franchement ce truc qui me
foutu hyper mal à l'aise très très
chelou après c'est c'est beau hein enfin
pour ça qu'il y a vraiment beaucoup de
travail mais les personnages franchement
tout fait flipper là-dedans l'ambiance
est archi glauque je sais pas ce qu'il a
utilisé comme style mais franchement
c'est c'est assez terrifiant quoi les
gens ils ont pas de tête enfin c'est
trop chelou ce truc c'est vraiment
chelou mais il y a du taf en tout cas là
c'est clair regardez-moi ça mais
c'est monstrueux ce truc mais ce que je
note quand même c'est qu'il y a pas ici
de personnages récurrents non plus donc
entre guillemets c'est plus simple parce
qu'en fait c'est plein d'images qui sont
assemblées mais mais il y a pas vraiment
voilà il y a pas d'interaction de deux
personnages récurrents donc ça simplifié
un petit peu la tâche en fait il y a pas
de il y a pas de héros quoi lui on le
revoit nulle part par exemple
mais regardez-moi ça quoi qu'est-ce que
c'est que ce truc j'ai pas lu j'ai pas
lu j'ai même pas de toutes les images je
les découvre un peu en même temps que
vous moi c'est pas trop mon délire ce
genre de truc alors c'est beaucoup de
taf mais bon j'ai pas trop envie de le
lire j'avoue en revanche celui que j'ai
lu et qui est vraiment pas mal c'est
celui-là summer Island de Steve Colson
et celui-là il est vraiment vraiment pas
mal du tout en fait c'est l'histoire un
peu d'un photo reporter qui va sur une
île où il y a un espèce de pèlerinage
avec une sorte de sexe en fait qui va
vénérer un Dieu en faisant des sortes
d'offrande et là une fois encore c'est
malin parce que vous voyez ici donc en
gros il dit que c'est en 1973 et que le
narrateur est un photographe freelance
en fait qui va couvrir un événement quoi
et ce narrateur ce photographe freelance
on ne le voit pas de de tout de toute la
bande dessinée c'est à dire que du coup
il y a pas de personnages récurrents en
fait puisque c'est bien c'est bien foutu
mais en fait c'est le gars qui parle et
on ne le voit jamais alors après les
images sont magnifiques j'aime beaucoup
le style mais on ne retrouve pas les
personnages tout au long de la BD qui
fait que là aussi entre guillemets c'est
un peu plus simple mais pourquoi pas
c'est peut-être un style de BD moi j'en
lis pas assez peut-être qu'on peut créer
plein d'histoires en fait sans forcément
avoir de personnages récurrents
peut-être par personnage récurrent
j'entends héros bien entendu quelqu'un
qu'on verra tout le temps mais tout ça
c'est très très beau alors je vous passe
un peu alors c'est vrai qu'il y a un peu
ce personnage qui revient souvent et il
y en a plusieurs bon après c'est des
jeunes filles blondes c'est peut-être
pas si compliqué que ça à faire en
revanche juste la fin je vous spoiles
pas trop mais c'est vrai que cette
espèce de de grande structure faite en
bois en branche de bois qui est à la fin
va être brûlé pour avoir une sorte
d'offrande etc et la progression du feu
voilà à la fin c'est fait en couleur en
plus je trouve ça vraiment très très
beau et en fait les habitants commencent
à mettre le feu à la structure en bois
et on voit là vous voyez le feu commence
à prendre et la structure après elle est
quasiment identique à chaque fois vous
voyez les les flammes commencent à
grimper c'est vachement beau ça ça fait
très bande dessinée là pour le coup
alors c'est pas un personnage récurrent
c'est une structure récurrente j'avais
pas pensé à ça pourquoi pas mais c'est
magnifique franchement je peux dézoomer
pour vous montrer voilà franchement je
trouve ça super beau la fin enfin bref
je vous spoile pas trop si vous voulez
la lire et en fait là voilà il explique
que toutes les illustrations ont été
faites sur mille journée et que à la
base en fait ça a été sous forme de
photo reportage pareil sur mi-journées
vous voyez il explique ce story de self
start life as the photography
using midjournée to crit on essaye in
the style of 1973 movie bref voilà le
nom du truc et après une fois qu'il
avait fini cet essai il s'est demandé si
on pouvait le faire sur une journée mais
dans un style complètement différent et
donc ça a donné ce qu'on vient de voir
ensemble alors qu'en réalité la première
version bah c'était ça c'était sous
forme de d'espèce de photoportage
réaliste pareil créé sur mille journées
donc le gars a d'abord fait sous ce
format là et ensuite il l'a fait sous
forme de BD comme on l'a vu avant donc
franchement gros respect à lui je me
souviens pas de son nom Steve Colson
voilà c'est Steve Colson donc summer
Island vous allez le trouver sur le site
que je vous ai montré tout à l'heure et
franchement ça j'ai bien aimé l'histoire
était sympa les dessins sont magnifiques
il y a un gros gros travail de fait donc
voilà écoutez c'est tout je vous mettrai
tous les liens en description puis bah
écoutez j'espère que ça vous aura plu
parce que ça change un peu de
l'ordinaire et ça nous permet un peu de
débroussailler un petit peu cette
histoire de droit d'auteur qui a l'air
quand même d'être un beau bourbier on va
pas se mentir voilà bah félicitations si
vous êtes encore là je sais que c'est
une vidéo un peu différentes de celles
que je fais d'habitude c'était un peu
plus technique là c'est vrai qu'on
n'était pas en train de voir des
techniques pour progresser sur mille
journée mais après tout j'imagine que si
vous êtes sur cet outil c'est peut-être
que vous avez quelque chose derrière la
tête peut-être que vous voulez
commercialiser vos créations et du coup
je me suis dit que ce cas concret
pouvait aussi vous intéresser donc
dites-moi déjà dans les commentaires si
jamais ce genre de format vous intéresse
un petit peu plus actu d'autres parts je
vous rappelle que j'ai toujours deux
ressources que vous pouvez télécharger
gratuitement en description vous avez
d'une part un article qui s'appelle 10
astuces pour optimiser votre travail sur
mi-journée et de l'autre des centaines
de styles d'artistes époques etc qui
sont acceptés parmi de journée c'est
vraiment une ressource hyper utile tout
ça c'est les liens qui sont dans la
description de la vidéo et enfin si vous
voulez aller plus loin suite à ce qu'on
s'est dit aujourd'hui sachez que j'ai
créé une mini bande dessinée grâce à mes
créations sur mi-journée si vous n'avez
pas vu cette vidéo c'est celle qui
s'affiche en plein milieu de votre écran
je vous invite vraiment la regarder si
vous ne l'avez pas encore vu
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