Ce tableau est MAUDIT ! ... enfin...

Summary

Dans les années 80, un tableau représentant un garçon qui pleure devient le centre d'une légende urbaine au Royaume-Uni, après que plusieurs maisons dévastées par le feu ont vu l'œuvre miraculeusement indemne. Appelée la 'malédiction du garçon qui pleure', cette histoire intrigue, alimentée par des témoignages de personnes convaincues que le tableau provoque des incendies. En dépit de nombreuses enquêtes et explications rationnelles, la rumeur persiste, ajoutant des mystères et des théories autour de l'origine de l'œuvre et de son auteur. Ce phénomène s'est propagé mondialement, fascinant ceux qui croient aux objets maudits.

Takeaways

• 😀 La légende du tableau du 'garçon qui pleure' a émergé après un article du journal britannique The Sun en 1985, qui racontait comment des incendies avaient épargné ces tableaux malgré des destructions massives.
• 😀 L'article a mentionné que plusieurs incendies domestiques ont eu lieu dans des maisons où le tableau du garçon en pleurs était resté intact, ce qui a éveillé des inquiétudes parmi les lecteurs.
• 😀 Le tableau du 'garçon qui pleure', signé Giovanni Bragolin, aurait été imprimé à 50 000 exemplaires au Royaume-Uni dans les années 60 et 70 et vendu à bas prix dans les quartiers populaires.
• 😀 Bien que les pompiers aient écarté l'idée de malédiction, ils ont observé que ces tableaux résistaient étonnamment bien au feu, ce qui a alimenté la légende de la malédiction.
• 😀 Des histoires d'incendies, d'accidents et de cambriolages liés aux tableaux ont circulé, renforçant la croyance en une malédiction associée à ces œuvres.
• 😀 Le 30 octobre 1985, environ 2500 tableaux du garçon qui pleure ont été brûlés lors d'un grand feu de joie organisé par The Sun pour 'lever la malédiction'.
• 😀 Des rumeurs ont circulé selon lesquelles l'artiste aurait vendu son âme au diable ou que les tableaux étaient responsables de déclencher des incendies.
• 😀 Selon une théorie, l'artiste aurait peint un enfant des rues nommé Don Bonio, dont la présence aurait été associée à des incendies mystérieux. Cependant, cette histoire est largement considérée comme une invention.
• 😀 Les recherches modernes, comme celles de David Clark, ont démystifié de nombreuses parties de la légende, prouvant que le tableau avait un vernis ignifuge et que l'artiste était un peintre espagnol nommé Bruno Amadio.
• 😀 Les tests scientifiques ont montré que la grande résistance au feu du tableau était probablement due à un vernis spécial appliqué avant sa mise en vente, et non à une malédiction surnaturelle.
• 😀 Malgré les révélations démystifiant la légende, le mythe du garçon qui pleure persiste et les tableaux continuent de susciter l'intérêt, en particulier parmi les collectionneurs et les amateurs d'objets mystérieux.

Q & A

Quel est le sujet principal de l'histoire racontée dans la vidéo ?

L'histoire raconte la légende autour du tableau du 'garçon qui pleure', une œuvre d'art supposée maudite, qui aurait survécu à plusieurs incendies domestiques dans les années 80 au Royaume-Uni.

Quel événement déclenche l'histoire de la malédiction du garçon qui pleure ?

L'événement déclencheur est un article du journal 'The Sun' en 1985, qui raconte comment un tableau du garçon qui pleure a survécu à un incendie dans la maison d'un couple, Ron et May Hall, et comment des incidents similaires ont été rapportés par d'autres personnes.

Comment les pompiers sont-ils impliqués dans cette histoire ?

Les pompiers, notamment l'officier Alan Wilkinson, ont été témoins de plusieurs incendies où des reproductions du tableau du garçon qui pleure ont survécu. Ils ont confirmé que ces tableaux étaient retrouvés intacts dans des maisons ravagées par le feu.

Qui est Giovanni Bragolin, et quel rôle joue-t-il dans cette histoire ?

Giovanni Bragolin, censé être l'artiste derrière le tableau du garçon qui pleure, est un personnage mystérieux. Bien que les journalistes aient cherché des informations à son sujet, personne ne semble savoir qui il est ou où il se trouve, alimentant ainsi le mystère autour du tableau.

Quel impact la publication de l'article a-t-elle eu sur le public ?

L'article a suscité une réaction massive du public, avec des dizaines de lecteurs contactant 'The Sun' pour partager leurs histoires d'incendies, de malchances et d'autres événements étranges liés à la possession du tableau du garçon qui pleure.

Quelles rumeurs sont apparues à propos du tableau après sa publication dans les médias ?

Des rumeurs ont circulé, affirmant que le peintre avait vendu son âme au diable, que les enfants sur les tableaux étaient des orphelins ou des enfants morts, et que l'esprit du garçon maudit déclenchait des incendies pour se libérer de son piège.

Quelles actions ont été entreprises pour 'brûler' la malédiction du tableau ?

Le 30 octobre 1985, environ 2500 tableaux du garçon qui pleure ont été brûlés lors d'un grand feu de joie organisé par 'The Sun' pour se débarrasser de la prétendue malédiction.

Que révèle l'enquête menée par le journaliste David Clark en 2008 ?

David Clark démontre que beaucoup des rumeurs et théories sur le garçon qui pleure sont fausses. Il prouve que le nom de 'François Seville' n'était qu'une invention et que l'artiste derrière le tableau était en réalité Bruno Amadio, un peintre espagnol.

Comment les tests scientifiques ont-ils expliqué la résistance au feu des tableaux ?

Les tests ont montré que les tableaux étaient recouverts d'un vernis ignifuge, ce qui les rendait particulièrement résistants au feu. De plus, la ficelle utilisée pour accrocher le tableau était la première à se détériorer, ce qui permettait au tableau de tomber face contre terre et d'être protégé des flammes.

Quels sont les liens entre les tableaux du garçon qui pleure et d'autres artistes ?

Il a été découvert que certaines œuvres des artistes Bruno Amadio et Anna Zinken ont été vendues de manière similaire à des reproductions des tableaux du garçon qui pleure, ce qui a suggéré que leurs œuvres pourraient également être perçues comme maudites.